 | Pierre de Bourdeille Brantôme (seigneur de) - 1779 - 472 pagina’s
...miférablcment cette Princeffe, qui, de fa perte & de fon deuil, fit ellemefme cette Chanfon : < N mon trifle &' doux chant, D'un ton fort lamentable , Je jette un œil tranchant, *De perte incomparable » Et en foupirs cuifants jPaJe mes meilleurs ans. 'E t Fut-il un tel malheur, De dure deflinée , Wy fi trifle... | |
 | Quintin Craufurd - 1803 - 556 pagina’s
...cette occasion, exprima sa douleur dans une romance, dont elle fit les vers et composa la musique. En mon triste et doux chant, D'un ton fort lamentable, Je jette un œil touchant De perte irréparable ; Et on soupirs cuisans , Je passe mes beaux ans. Fut-il un tel malheur... | |
 | Antoine Arnauld (jr.), Claude Lancelot - 1803 - 522 pagina’s
...une romance qui est moins répandue , et qu'elle fit après la mort de François n son premier mari. En mon triste et doux chant , D'un ton fort lamentable, Je jette un œil touchant De perte irréparable ; Et en soupirs cuisans Je passe mes beaux ans» • . Fut-il un tel... | |
 | Malcolm Laing - 1804 - 398 pagina’s
...some conceits in her letters and sonnets may be traced to their works, as to those of Ronsard. CHAP. En mon triste et doux chant, D'un ton fort lamentable, Je jette un ceil tranchant, De perte incomparable} Et ci soupirs cuisans Passe mon meilleurs ans. \ An address... | |
 | Mary (Queen of Scots) - 1807 - 328 pagina’s
...traiter misérablement cette princesse, qui de sa perte et de son deuil fit ellemême cette chanson , En mon triste et doux chant , D'un ton fort lamentable , Je jette un œil touchant , De perte incomparable , Et en soupirs cuisans , Passe mes meilleurs ans. Fut-il un tel malheur... | |
 | Antonio Scoppa - 1812 - 614 pagina’s
...chanson , ici Tin » A si triste complainte , » Dont sera le refrain : j> Amour vraye et sans feinte. ' En mon triste et doux chant, •• D'un ton fort lamentable, » Je jette un œil touchant » De perte irréparable j -" Et en soupirs cuisans » Je passe mes beaux ans. » Fut-il un... | |
 | Charles Nodier - 1812 - 602 pagina’s
...une*dmance qui est moins répandue, et qu'elle fit après la mort de François n son premier mari. • . En mon triste et doux chant, D'un ton fort lamentable, * Je jette un œil touchant De perte irréparable ; Et en soupirs cuisans Je passe mes beaux ans. Fut-il un tel malheur... | |
 | Elizabeth Ogilvie Benger - 1823 - 414 pagina’s
...que de l'autre il te souvienne. Elégie de MARIE STUART, sur la mort de François IL, son Mari. I. En mon triste et doux chant, D'un ton fort lamentable, Je jette un œil trachant, De perte incomparable, Et en soupirs cuisans, Passe mes meilleurs ans. IL Fût-il un tel... | |
 | Pierre de Bourdeille Brantôme (seigneur de) - 1823 - 500 pagina’s
...traicter miserablement cette princesse, qui, de sa perte et de son deuil fit elle mesme ceste chanson. En mon triste et doux chant, D'un ton fort lamentable, Je jette un deuil tranchant, De perte incomparable, Et en soupirs cuisans Fasse mes meilleurs ans. Fut-il un tel... | |
 | Elizabeth Ogilvie Benger - 1823 - 420 pagina’s
...que de 1'autre il te souvienne. Elegie de MARIE STUART, sur la mart de Franfois II., son Mari. IEn mon triste et doux chant, D'un ton fort lamentable, Je jette un ceil trachant, De perte incomparable, Et en soupirs cuisans, Passe mes meilleurs ans. Fut-il un tel... | |
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Vois en bière et cercueil ? Qui, en mon doux printemps Et fleur de ma jeunesse, Toutes les peines sens... 
