Histoire de France : depuis les Gaulois jusqu'à la fin de la monarchie. 10 (1805)Garnery, 1805 |
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affaires Anglais armée auroit avoient avoit bataille Bourbon bourgeois Calais Castille cent mille Charles Charles de Blois château chevaliers Clisson comptoit comte d'Artois connétable conseil cour couronne Craon d'An d'Angleterre d'ar d'armes d'Artevel dauphin déja devoit disoit-il donna duc d'Anjou duc de Berri duc de Bourgogne duc de Bretagne duché Duguesclin Édouard enfans envoya épouse états étoient étoit expédition faisoit falloit fils Flamands Flandres frère garnison gleterre guerre Guienne impôts Jean Jeanne Jeanne de Bourbon l'Anglais laissa Lancastre Louis de Male mandie Marcel ment mille hommes monarque Montfort mort n'avoit n'étoient n'étoit n'y avoit Navarre Navarrois nommé Normandie oncles paix pape paroît père peuple Philippe de Valois porter possédoit pouvoit pré présent prévôt prince de Galles princesse prison prisonnier prit provinces rançon régent rent reste Robert rois roit royaume secours seigneurs bretons seroit sur-tout tenoit tion traité trève trône troupes varre villes vouloit
Populaire passages
Pagina 260 - Ah ! beau cousin , s'écriat-il en versant des larmes, votre opiniâtreté a été cause de beaucoup de maux en Bretagne. Dieu vous le pardonne ; je regrette bien que vous êtes venu à cette mâle fin. » Chandos l'arrache de ce trislelieu, et lui dit ; « Monseigneur, vous ne pouviez avoir votre cousin en vie et le duché tout ensemble. Remerciez Dieu et vos amis.
Pagina 355 - Je ne sais, ajoula-t-il, si je retournerai du lieu où je vais ; je suis vieilli , et non pas las. Je vous supplie très-humblement que vous fassiez la paix avec le duc de Bretagne, et aussi que vous le laissiez en paix, se soumettant à son devoir ; car les gens de guerre du pays vous ont très-bien secouru à toutes vos conquêtes, et pourront encore faire, s'il vous plaît de vous eu servir.
Pagina 364 - Les clercs ou la sapience, disait» il, l'on ne peut trop honorer; et tant que sapience sera honorée en • ce royaume, il continuera à prospérité; mais quand déboutée y • sera, il déchéera.
Pagina 164 - Sire, sachez, pour vous lober (railler); car tous ceux de notre partie et qui ont vu les uns et les autres, se sont par pleine science à ce accordés, et vous en donnent le prix et le chapelet, si vous le voulez porter.
Pagina 111 - Ha, dame, j'aimasse trop mieux que vous fussiez autre part que cy. Vous me priez si acertes que je ne le vous ose esconduire (refuser); et combien que je le fasse enuis (avec peine) , tenez, je les vous donne , si en faites votre plaisir.
Pagina 118 - ... cette année pour l'amour de moi. Je sais bien que vous êtes gai et amoureux et que volontiers vous vous trouvez entre dames et demoiselles : si dites partout là où vous irez que je le vous ai donné.
Pagina 75 - ... clameurs de ceux qui sont surpris, leur fuite et les flammes qui s'élèvent, rappellent les troupes de l'assaut, et le font cesser. Après ce succès, elle reprend le chemin de la ville; mais elle est coupée par un corps supérieur. Sans se déconcerter, elle ordonne à sa troupe de se débander, et marque la réunion dans une ville voisine : quelques jours après, avec ses compagnons d'armes et d'autres qui s'y joignent, elle se présente devant les retranchements des assiégeants, les force,...
Pagina 110 - ... grâce envers notre Seigneur, à qui de tel meschef le pourroit garder. Je, endroit moi, ai si grand espérance d'avoir grâce et pardon envers notre...
Pagina 30 - Cassel fut pris, rasé et réduit en cendres. Les autres grandes villes se rendirent; on en enleva des otages pour la sûreté des amendes , et le plat pays fut ravagé. Par-tout on abattit les fortifications dont les mécontents pouvoient se prévaloir pour une autre rebellion.
Pagina 75 - A la bravoure du soldat, l'héroïne joignait le coup d'œil du capitaine. Un jour, pendant un assaut, elle remarque qu'une partie de ceux qui étaient préposés à la garde du camp ennemi l'ont abandonné, ou par curiosité, ou pour se joindre aux assaillants. Elle prend trois cents cavaliers, se met à leur tête, sort par une porte opposée à l'attaque, fond sur le camp, renverse tout, et y met le feu. Les clameurs de ceux qui sont surpris, leur fuite et les flammes qui s'élèvent, rappellent...