A peine il en est question, il se lève, ses yeux se fixent sur moi, et il est très clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler, mais d'abord si bas et si vite, que, quoique je sois auprès de lui, quoique je le touche, j'ai peine à l'entendre... Mercure françias - Pagina 1711779Volledige weergave - Over dit boek
| 1787 - 870 pagina’s
...profe. A peine il en eft queftion , il fe levé : fes yeux fe fixent fur moi , & /'/ eft très- clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler, mais d'abord fi bas & fi vite , que , quoique je fois auprès de lui , quoique je le touche , j'ai peine i l'entendre & à le... | |
| Charles Marie Dorimond de Féletz - 1830 - 582 pagina’s
...peine de balbutier gauche« ment tout cela ; il se lève, ses yeux se fixent « sur moi, et il est très-clair qu'il ne me voit plus « du tout. Il commence à parler , mais d'abord si « bas et si vite, que, quoique je sois auprès de lui , « quoique je le touche , j'ai çieine... | |
| Adolphe Garnier - 1852 - 660 pagina’s
...vers et à la prose. A peine en est-il question qu'il se lève ; ses yeux se fixent sur moi et il est très-clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler, mais d'abord si bas et si vite que, quoique je sois auprès de lui, quoiqueje le touche, j'ai peine à l'entendre... | |
| Adolphe Garnier - 1852 - 560 pagina’s
...vers et à la prose. A peine eu est-il question qu'il se lève; ses yeux se fixent sur moi et il est très-clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler, mais d'abord si bas et si vite que, quoique je sois auprès de lui, quoiqueje le touche, j'ai peine à l'entendre... | |
| Pierre Maurice Mervoyer - 1864 - 436 pagina’s
...et à la prose. A peine en est-il question, qu'il se lève ; ses yeux se fixent sur moi , et il est très-clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler; mais d'abord si bas et si vite, que, quoique je sois près de lui, quoique je le touche, j'ai peine à l'entendre... | |
| Denis Diderot - 1875 - 576 pagina’s
...vers et à la prose. A peine il en est question, il se lève, ses yeux se fixent sur moi, et il est très-clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler, mais d'abord si bas et si vite, que, quoique je sois auprès de lui, quoique je le touche, j'ai peine à l'entendre... | |
| Denis Diderot - 1875 - 574 pagina’s
...vers et à la prose. A peine il en est question, il se lève, ses yeux se 6ient sur moi, et il est très-clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler, mais d'abord si bas et si vite, que, quoique je sois auprès de lui, quoique je le touche, j'ai peine à l'entendre... | |
| Denis Diderot - 1875 - 574 pagina’s
...vers et à la prose. A peine il en est question, il se lève, ses yeux se fixent sur moi, et il est très-clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à' parler, mais d'abord si bas et si vite, que, quoique je sois auprès de lui, quoique je le touche, j'ai peine à l'entendre... | |
| Elme Marie Caro - 1881 - 378 pagina’s
...visite; il le devine apparemment... Il se lève, ses yeux se fixent sur moi, et il est très clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler, mais d'abord si bas et si vite que j'ai peine à l'entendre et à le suivre... Peu à peu sa voix s'élève et devient... | |
| Charles Aubertin - 1889 - 980 pagina’s
...la prose. A peine il en est question, il se lève, ses yeux se fixent sur moi, et il est très clair qu'il ne me voit plus du tout. Il commence à parler, mais d'abord si bas et si vite, que, quoique je sois auprès de lui, quoique je le touche, j'ai peine à l'entendre... | |
| |