| Antoine-François marquis de Bertrand de Moleville - 1801 - 392 pagina’s
...inquiétudes; je sais Oct. i789 ) DE LA REVOLUTION. 229 v> qu'on vient de Paris pour demander ma tcte ; » mais j'ai appris de ma mère à ne "pas craindre » la mort, et je l'attendrai avec fermeté.» Sa réponse au conseil qui lui fut donné, de se soustraire par la fuite aux dangers qui... | |
| Antoine de Rivarol - 1808 - 386 pagina’s
...pouvaient lui cacher leurs alarmes. « Je sais, » disait-elle, qu'on vient de Paris pour de» mander ma tête : mais j'ai appris de ma mère » à ne pas craindre la mort, et je l'attendrai » avec fermeté. » Un officier des gardes du corps, parlant avec beaucoup d'amertume et peu de mesure, de... | |
| Henri Lemaire - 1816 - 450 pagina’s
...à des personnes qui lui témoignaient des inquiétudes, je sais qu'on vient de Paris pour demander ma tête; mais j'ai appris de ma mère à ne pas craindre la ntort, et je l'attendrai avec fennteté. » On lui 1780. conseillait de se soustraire par la fuite... | |
| Jacques Corentin Royou - 1819 - 732 pagina’s
...imperturbable , la plus grande sérénité. « Je sais , disoit-elle , » qu'on vient demander ma tête ; j'ai appris » de ma mère , à ne pas craindre la mort , » et je la subirai avec fermeté. » Elle répondit à ceux qui la conjuraient de fuir. « Je » n'abandonnerai... | |
| 516 pagina’s
...dans toute sa grandeur , Marie-Antoinette avait dit : «Je sais qu'on vient de Paris pour demander ma tête ; mais j'ai appris de ma mère à ne pas craindre la mort , et je l'attendraiarec fermeté. » Quelques lignes plusbas, Weber joute: « On Verra tout -à- L'heure 'cette... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1822 - 528 pagina’s
...pouvaient lui cacher leurs alarmes. « Je sais, disait-elle, qu'on vient » de Paris pour demander ma tête ; mais j'ai appris » de ma mère à ne pas craindre la mort, et je » l'attendrai avec fermeté. » Un officier des gardesdu-corps , parlant avec beaucoup d'amertume de ce nouvel attentat... | |
| Joseph Weber, Trophime-Gérard marquis de Lally-Tolendal - 1822 - 532 pagina’s
...pouvaient lui cacher leurs alarmes. « Je sais, disait-elle, qu'on vient » de Paris pour demander ma tête ; mais j'ai appris » de ma mère à ne pas craindre la mort, et je » l'altendrai avec fermeté. » Un officier des gardesdu-corps , parlant avec beaucoup d'amertume... | |
| Joseph Weber, Trophime-Gérard marquis de Lally-Tolendal - 1822 - 526 pagina’s
...lui cacher leurs alarmes. « Je sais, disait-elle, qu'on vient » de Paris pour demander ma téle ; mais j'ai appris » de ma mère à ne pas craindre la mort, et je M l'attendrai avec fermeté. » Un officier des gardesdu-corps , parlant avec beaucoup d'amertume de... | |
| 1822 - 538 pagina’s
...lui cacher leurs alarmes. i( Je sais, disait-elle, qu'on vient » de Paris pour demander ma tète ; mais j'ai appris » de ma mère à ne pas craindre la mort, et je M l'attendrai avec fermeté. a Un officier des gardesdu-corps, parlant avec beaucoup d'amertume de... | |
| Joseph Weber, Trophime-Gérard marquis de Lally-Tolendal - 1822 - 528 pagina’s
...ne pouvaient lui cacher leurs alarmes. «Je sais, disait-elle, qu'on vient M de Paris pour demander ma tête ; mais j'ai appris » de ma mère à ne pas craindre la aaort, et je » l'attendrai avec fermeté. » Un officier des gardesdu-corps , parlant avec beaucoup... | |
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