Les Malheurs de l'inconstance; Floricourt, histoire françoise, &cSociété typographique, 1776 |
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Adieu adore affez aime ainfi ALCEST amant amour auffi avez avoit befoin bonheur c'eft c'eſt caufe ceffe charme chevalier de Gérac chofe cœur comte de Mirbelle confole connoiffez crainte cruel defirs efprit eſt êtes étoit facré facrifice fans doute favez fecret fein femble femmes fenfible fens fentimens fentiment feroit feul fiecle filence Floricourt fociété foible foibleffe foins foit fonge font fouffrir foulager foupçons foupir foupirs fous fouvent fpectacle fuccès fuis fûr fur moi fur-tout graces hélas heureux homme inftant j'ai j'avois j'en j'étois jamais jours jufqu'à l'ame l'amour l'efprit ladi laiffe larmes LETTRE m'avez m'en madame de Syrcé madame de Terville maîtreffe malheureufe malheureux marquife monfieur n'eft n'eſt n'étoit Nitor paffé paffion pardonne paroît pefe penfer perfonne plaifir plaifirs pleurs poéfie préfent preffe prefque raifon refpect refte reux rien Rofis s'eft Sidley tems tendre tendreffe trifte veux voilà yeux Zelmis
Populaire passages
Pagina 369 - Globe resplendissant, océan de lumière, De vie et de chaleur source immense et première , Qui lances tes rayons par les plaines des airs , De la hauteur des cieux aux profondeurs des mers , Et seul fais circuler cette matière pure, Cette sève de feu qui nourrit la nature, Soleil , par tes rayons l'univers fécondé Devant toi s'embellit, de splendeur inondé.
Pagina 370 - El mets-la dans ce calme où tu vois la nature : En vain à l'observer ton œil s'est attaché ; L'œil sera trouble encor si le cœur n'est touché. Eh! d'où vient que Berghem est au rang de tes maîtres? D'où vient qu'il a reçu des déités champêtres Le feuillage immortel qui verdit sur son front?
Pagina 369 - Qui lances tes rayons , par les plaines des airs , De la hauteur des cieux aux profondeurs des mers , Et seul fais circuler cette matière pure , Cette sève de feu qui nourrit la nature , Soleil , par ta chaleur l'univers fécondé Devant toi s'embellit de lumière inondé; Le mouvement renaît , les distances , l'espace ; Tu te lèves, tout luit; tu nous fuis, tout s'efface; Le poète sans toi fait entendre ses vers , Sans toi la voix d'Orphée a modulé des airs : Le peintre ne peut rien qu'aux...
Pagina 404 - II aura du plaisir encore A voir, dans son humble séjour, Poindre la clarté de l'aurore Et les premiers feux d'un beau jour. Alors, si tu viens à paraître, Toi , sa fille , objet de ses vœux , Des pleurs couleront de ses yeux. Orgueilleux de t'avoir fait naître , II...
Pagina 374 - Goute peu d'Helicon les douces promenades. Horace a bu fon faoul quand il voit les Ménades, Et libre du fouci qui trouble Colletet, N'attend pas, pour dîner, le fuccés d'un Sonnet.
Pagina 68 - DORAT, Les malheurs de l'inconstance, 1772, lettre 10 : « Quel est donc ce vide éternel du cœur? Quelle est cette inquiétude que rien ne peut fixer ? Attrait du changement, tu promets le bonheur ! Hélas ! que d'amertume te suit, que de regrets t'empoisonnent !
Pagina 401 - Neva , fière de ses droits , Aime à réfléchir ton image , Et, sans envier l'or du Tage , Roule ses glaçons sous tes lois. Tu régis cet empire immense Dont la nuit couvre l'orient , A l'instant que des feux qu'il lance Le jour embrase l'occident. Un vaste et merveilleux...
Pagina 401 - ... empire immense Dont la nuit couvre l'orient , A l'instant que des feux qu'il lance Le jour embrase l'occident. Un vaste et merveilleux ouvrage (1) , Ce lien de deux grands états , Te fait toucher à ces climats Où , respectable sans combats , On est soumis sans esclavage ; A ces rivages florissans , Habités par ce peuple antique , Qui, depuis près de cinq mille ans, Dans un calme philosophique , Échappe au ravage des temps ; Sous le voile de ses pagodes Adore un Être prolecteur ; Trauque...