Annales de l'Académie de Mâcon, Volumes 5-7

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Populaire passages

Pagina 249 - Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie: Emportez-moi comme elle, orageux aquilons.
Pagina 54 - ... représentée par un excès d'accroissement double, triple, quadruple même , pour une extrémité toujours la même. M. Ollier reconnut ainsi qu'au membre supérieur, pour les os du bras et de l'avant- bras, c'est l'eAtrémité éloignée du coude qui s'accroît le plus. Tandis qu'au membre inférieur, le contraire a lieu. Pour les os de la cuisse et de la jambe , c'est l'extrémité éloignée du genou qui s'accroît le moins. Si vous m'avez prêté jusqu'ici votre attention , vous vous demandez...
Pagina 252 - ... mouiller ses grelots. Mais j'aime la Voulzie et ses bois noirs de mûres, Et dans son lit de fleurs ses bonds et ses murmures : Enfant, j'ai bien souvent, à l'ombre des buissons, Dans le langage humain traduit...
Pagina 249 - Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. A sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu ; Car je m'en vais au même lieu, Comme un cadet de la famille.
Pagina 252 - J'avais bien des amis ici-bas quand j'y vins, Bluet éclos parmi les rosés de Provins : Du sommeil de la mort, du sommeil que j'envie, Presque tous maintenant dorment, et, dans la vie, Le chemin dont l'épine insulte à mes lambeaux Comme une voie antique est bordé de tombeaux.
Pagina 208 - Marguerite, sa femme , à ses biens meubles pour la doute qu'elle ne trouvât trop grands dettes , en mettant sur sa représentation, sa ceinture avec sa bourse et les clefs, comme il est de coutume; et de ce demanda instrument à un notaire public, qui étoit là présent.
Pagina 257 - ... telle espèce d'art, la sculpture païenne ou la peinture réaliste, l'architecture mystique ou la littérature classique, la musique voluptueuse ou la poésie idéaliste. Les productions de l'esprit humain, comme celles de la nature vivante, ne s'expliquent que par leur milieu.
Pagina 314 - Les critiques auxquelles donne lieu la publication des cartulaires de Saint-Julien, de Sauxillanges et de la Réole, ne peuvent pas s'adresser au travail que nous a envoyé la Société impériale des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille, et auquel le comité donne la plus complète approbation. Malheureusement, le plan de l'ouvrage ne permettait guère de le rattacher au concours. Le programme demandait des cartulaires, et les deux magnifiques volumes publiés par , la Société de Lille...
Pagina 252 - J'ai jeté les débris au vent... et j'ai pleuré ! Pourtant je te pardonne, ô ma Voulzie! et même, Triste, j'ai tant besoin d'un confident qui m'aime, Me parle avec douceur et me trompe, qu'avant De clore au jour mes yeux battus d'un si long vent, Je veux faire à tes bords un saint pèlerinage. Revoir tous les buissons si chers à mon jeune âge, . Dormir encore au bruit de tes roseaux chanteurs, Et causer d'avenir avec tes flots menteurs.
Pagina 253 - J'ai bien maudit le jour qui m'a vu naître ; Mais la nature est brillante d'attraits, Mais chaque soir le vent à ma fenêtre Vient secouer un parfum de forêts. Marcher à deux sur les fleurs et la mousse, Au fond des bois rêver, s'asseoir, courir, Oh ! quel bonheur ! oh ! que la vie est douce...

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