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Président.

COMPOSITION DU BUREAU DE LA SOCIÉTÉ

POUR 1854-1855.

M. Hip. FORTOUL, ministre de l'instruction publique

Vice-Présidents. MM. GUIGNIAUT, membre de l'Institut.

LEFEBVRE-DURUFLÉ, sénateur.

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M. GUIGNIAUT (de l'Institut).

Vice-Présidents. MM. D'AVEZAC et JOMARD (de l'Institut).

Secrétaire général. M. Alfred MAURY.

Secrétaire adjoint. M. V.-A. MALTE-BRUN.

Section de Correspondance.

MM. A. d'Abbadie, corr. de l'Institut. MM. Imbert des Mottélettes.

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M. Noirot, agent de la Société, rue Christine, 3.

10305.9

DE LA

SOCIÉTÉ DE GÉOGRAPHIE

RÉDIGÉ PAR LA SECTION DE PUBLICATION

ET MM. ALFRED MAURY,

SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA COMMISSION CENTRALE,

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CHEZ ARTHUS-BERTRAND,

LIBRAIRE DE LA SOCIÉTÉ DE GÉOGRAPHIE,

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H. S. TANNER, à Philadelphie.
W. WOODBRIDGE, à Boston.

Le lt-col. EDWARD SABINE, à Londres.
Le docteur REINGANUM, à Berlin.
Le docteur RICHARDSON, à Londres.
Le professeur RAFN, à Copenhague.
AINSWORTH, à Edinbourg.

Le colonel LONG, à Louisville, Ky.
Le capitaine MACONOCHIE, à Sydney.
Le conseiller de MACEDO, à Lisbonne.
Le professeur KARL RITTER, à Berlin.
Le cap. John WASHINGTON, à Londres.
P. DE ANGELIS, à Buenos-Ayres.
Le docteur KRIEGK, à Francfort.
Adolphe ERMAN, à Berlin.

Le docteur WAPPAUS, à Goettingue.

MM.

Ferdinand DE LUCA, à Naples.

Le docteur BARUFFI, à Turin.
Le lieut.-col. Fr. COELLO, à Madrid.
Le professeur MUNCH, à Christiania.
Le gén. Albert De La Marmora, à Turin.
Fulgence FRESNEL, à Mossoul.

Ch. SCHEFFER, à Constantinople.
Le professeur Paul CHAIX, à Genève.
J. S. ABERT, colonel des ingénieurs-to-
pographes des États-Unis.

Le professeur ALEX. BACHE, Surinten

dant du Coast-Survey, aux Etats-Unis. LEPSIUS (Richard), à Berlin. DE MARTIUS, à Munich. KIEPERT (Henri), à Weimar. PETERMANN (Augustus), à Gotha.

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DE LA

SOCIÉTÉ DE GÉOGRAPHIE.

JANVIER ET FÉVRIER 1855.

Mémoires, ete.

EXTRAIT

D'UNE LETTRE DE M. HERMANN E. LUDEWIG A M. JOMARD, MEMBRE DE L L'INSTITUT.

New-York, 23 septembre 1854.

Monsieur,

Permettez-moi de vous importuner encore par l'envoi d'un de ces travaux que poursuit ma persévérance sur mes anciens amis les aborigènes du Mexique, mémoire que je dois lire dans la séance de notre Société ethnologique samedi prochain, le 30 de ce mois.

J'ai composé ce petit essai pendant les chaleurs excessives de cet été, et il y avait des semaines entières où je ne pouvais profiter que de deux ou trois heures de loisir; il m'a donc fallu un long temps pour le finir. J'ai tâché de présenter à nos cthnologistes les vues que m'ont suggérées les études que j'avais entreprises, avant d'entrer dans la carrière de la jurisprudence (1),

(1) M. Hermann E. Ludewig est jurisconsulte comme était M. Du ponceau, président de la Société philosophique américaine mon ancien correspondant.

E.-J.

sur les antiquités mexicaines et qui m'ont occupé toutes les fois que j'avais occasion d'y penser. Je ne sais pas si elles sont justes et je prie mes amis littéraires de m'informer sur ce point-là.

Je serais heureux que vous consent issiez à examiner ce travail et à me dire ce que vous en pensez; et comme j'espère trouver plus tard une occasion de continuer mes études, votre opinion, mieux que toute autre, m'indiquera la meilleure direction dans laquelle je pourrai procéder. En 1851 et 1852, j'ai composé un ouvrage intitulé Literature of american aboriginal linguistics, donnant, d'après Adelung, Vater et July (professeur à Cracovie ou à Lemberg), une liste bibliographique des grammaires et vocabulaires, publiés en plus de 200 langues indiennes de notre continent. Cette liste forme un manuscrit de plus de 400 pages in-folio et m'a coûté beaucoup de travail : je l'ai envoyée à M. July pour en faire usage dans la nouvelle édition de son ouvrage qu'il est en train de publier. Hermann E. LUDEWIG.

DE L'HISTOIRE DES ABORIGÈNES DU MEXIQUE,

PAR M. HERMANN LUDEWIG (1).

Il n'y a pas de noms de peuples plus familiers aux personnes qui se sont livrées à l'étude de l'histoire primitive du Mexique, que ceux des Toltèques, des Chichimèques

(1) Ce mémoire, destiné d'abord à la Société ethnologique des États-Unis, a été traduit sur le manuscrit de l'auteur auquel la Société

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