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moins à nos yeux n'est pas bien mais l'austère Genève était imgrave, placable pour les plus petites fautes. Ce qui est plus sérieux, c'est l'accusation portée contre le turbulent maître de danse Isaac Rousseau dans un document du 10 octobre 1722 (p. 21-25): il avait tiré son épée et en avait frappé au visage un interlocuteur fâcheux, ce qui l'obligea à quitter la ville en toute hâte pour n'être pas une seconde fois privé de sa liberté. Le père de Jean-Jacques fut condamné à trois mois de prison et à 50 écus d'amende.

La brochure de M. R. n'est pas seulement digne d'attention par les dé tails si nouveaux qu'elle nous fournit sur les aventures de Jean-Jacques : on y trouve aussi de précises indications qui permettent de rectifier un assez grand nombre de passages des Confessions. Tout au début du livre, Rousseau raconte que « l'amour arrangea tout » et que « les deux mariages [de son père et de sa mère, de son oncle et de sa tante] se firent le même jour. » Erreur manifeste! Le père et la mère du philosophe se marièrent le 2 juin 1704 et son oncle et sa tante (Gabriel Bernard et Théodore Rousseau) s'étaient déjà mariés en 1699, et ce n'était pas trop tôt, comme nous l'avons vu. - Ailleurs Jean Jacques nous présente le pasteur Bernard comme son grand-père; M. R. établit (p. 15), à l'aide d'un acte notarié du 27 mai 1701, que c'était son grand' oncle. Enfin (p. 29) M. R. redresse, en remontant toujours aux sources officielles, trois dates des Confessions. Rousseau dit qu'il avait huit ans quand il fut placé chez Mlle Lambercier dont il raconte si plaisamment la fatale culbute il en avait dix. De retour à Genève, il passa, dit-il, deux ou trois ans chez son oncle Bernard : ces deux ou trois ans se réduisent à quelques mois de l'hiver 1724-25. Son voyage avec l'archimandrite, qu'il accompagna de Neufchâtel à Fribourg, Berne et Soleure, doit être reporté de 1732 au printemps de 1731.

Quand on donnera des oeuvres complètes de J.-J. Rousseau une édition semblable aux éditions de la collection des Grands écrivains de la France, la brochure de M. R. ne sera pas une des moins utiles de toutes les pièces à consulter.

T. de L.

Au moment où l'on imprimait les lignes que l'on vient de lire, j'ai reçu un petit volume intitulé: Jean-Jacques et le pays romand (Genève, H. Georg, libraire de l'Institut, 1878. Petit in-8° de xcvi-1 50 p.) M. Eug. Ritter a été chargé par l'Institut genevois de recueillir les plus jolies pages de J.-J. Rousseau, celles où il a peint les paysages et les mœurs du pays romand. Le choix a été fait avec infiniment de goût: on trouve dans le volume si élégamment imprimé par J.-G. Fick les Souvenirs d'enfance (extraits des Confessions), quelques fragments de la Lettre à d'Alembert et de la Nouvelle Héloïse, les Lettres écrites de Motiers au maréchal de Luxembourg et la description de l'Ile de Saint-Pierre. Le recueil, clos par les exquises pages de Bernardin de Saint-Pierre sur

la vieillesse de son malheureux ami, est précédé d'une Vie de J.-J. Rousseau par M. Ritter. L'éditeur, s'effaçant spirituellement devant le grand écrivain, y laisse le plus souvent possible la parole à Rousseau et se contente d'ajouter au texte quelques phrases qui servent de lien aux citations et quelques notes explicatives ou rectificatives. Le tout est très-délicatement fait, et M. Ritter, par son ton si modéré, si discret, donne une piquante leçon à ceux qui célèbrent avec tant de fracas la gloire d'un homme dont l'ombre irritée semble leur dire: Laissez-moi donc tranquille!

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 28 juin 1878.

M. Gaston Paris, au nom de la commission des antiquités de la France, fait connaître les décisions de cette commission sur le concours de 1878. Quatre médailles (au lieu de trois décernées ordinairement), et six mentions honorables, sont décernées aux auteurs des ouvrages ci-après désignés :

Première médaille: FAGNIEZ (Gustave), Etudes sur l'industrie et la classe industrielle à Paris et au XIII XIVe siècle;

Deuxième médaille CORROYER (Edouard), Description de l'abbaye du mont SaintMichel et de ses abords, précédée d'une notice historique;

Troisième médaille HAVET (Julien), Les cours royales des iles normandes ; Serie chronologique des gardiens et seigneurs des îles normandes (1198-1461); Quatrième médaille: HANAUER (l'abbé), Etudes économiques sur l'Alsace ancienne

at moderne.

Mentions honorables:

1. SEPET (Marius), Les prophètes du Christ, étude sur les origines du théâtre au moyen age, le drame chrétien au moyen âge:

2. AURES, Monographie des bornes milliaires du département du Gard;

3. LE MEN (R. F.), Monographie de la cathédrale de Quimper;

4. DACHEUX (l'abbé L.), Un réformateur catholique à la fin du xv siècle : Jean Geiler de Kaysersberg;

5. GUIBERT, La destruction de l'ordre de l'abbaye de Grandmont;

6. LUCHAIRE, Les origines linguistiques de l'Aquitaine.

M. Edmond Le Blant lit une note sur une coupe de bronze antique, du vo ou du siècle de notre ère, appartenant à M. Charvet. Cette coupe porte une inscription circulaire ainsi conçue;

SI PLVS MISERIS MINVS BEBIS SI MINYS MISERIS PLNS BEBI. On a prétendu que l'auteur de cette inscription avait deux fois sous-entendu un Teme mot, dederis, et qu'il fallait lire: Si plus miseris (dederis), minus « bibes; si minus miseris (dederis), plus bibes ». M. Le Blant repousse cette interprétation insoutenable, et reconnait dans miseris le subjonctif parfait du verbe mitto, employé au sens de jeter les dés. Les anciens avaient l'habitude de jouer aux dés pendant le repas; celui qui a composé l'inscription gravée sur la coupe de M. Charvet a voulu mettre les convives en garde contre l'entraînement du jeu, qui pourrait leur faire perdre un temps mieux employé, selon lui, à boire : « Plus tu joueras, leur dit-il, moins tu boiras; moins tu joueras, plus tu boiras ».

M. de Wailly, tout en admettant cette explication en ce qui concerne le sens du verbe miseris, adopte qu'il y a peut être lieu de la modifier pour les mots plus et minus. Ces ots désignent, selon lui, non le plus ou moins longtemps que l'on pouvait passer à jouer, mais le chiffre plus ou moins élevé que l'on pouvait amener en un coup de dés. Il pense qu'il y avait entre les buveurs des conventions d'après lesquelles le nombre le coups de vin que chacun devait boire dépendait du chiffre qu'il amenait en jetant

les dés.

M. Heuzey fait remarquer que la lecture de l'inscription n'est pas certaine. L'inscription formant un cercle, et aucun signe ne marquant le commencement de la hrase, rien n'empêche de commencer ou l'on veut, et par exemple de lire «< Plus tibes, si plus miseris; minus bibes, si minus miseris. >> Cette lecture, combinée

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REVUE CRITIQUE d'histoire ET DE LITTÉRATURE

avec la supposition de M. de Wailly, donnerait le sens suivant : « Tu boiras plus, si tu amènes un beau coup de dés; moins, si tu amènes un coup moindre ». M. Deloche continue la seconde lecture de son mémoire sur les invasions gau

loises en Italie.

M. Delisle, administrateur général directeur de la Bibliothèque nationale, annonce: 1 que la Bibliothèque va recevoir prochainement un exemplaire de la collection chinoise des livres canoniques bouddhiques, donné par le vice-ministre de l'instruction publique de S. M. Ie Mikado, et contenant en 1612 volumes, sous le titre général d'Issaï Kio ou Tripitaka, les 84000 textes de la loi, divisés en trois parties, le Sutra Pitaka ou Discours de Bouddha, le Vinaya Pitaka ou la Discipline, et l'Abidharma ou les Lois manifestées; 2° que la bibliothèque a acquis, à la vente de la première série des livres de feu M. Ambroise Firmin-Didot, outre trois ouvrages imprimés, huit manuscrits. savoir: Arrien, histoire d'Alexandre, traduction latine, exemplaire exécuté pour le pape Nicolas V; Quintilien, exemplaire de la première moitié du xv s.; Sénèque, Tragédies, manuscrit daté de Gènes, 7 sept. 1381; poemes de Prudence et de Paulin de Périgueux, xr° s., avec gloses germaniques; dictionnaire latin-français de Firmin Le Ver, 1440, manuscrit unique et original de 942 pages; Grandes Chroniques de France, XIV ou xve siècle; relation en vers du combat des Trente, version différente de celle qui a été publiée; ms. de 1301, contenant le roman de Joseph d'Arimathie, la vie de Merlin et la Quête de Saint-Graal. Un autre ms. du xIII° siècle, contenant la dernière partie de Lancelot du Lac, la quête du Saint-Graal et la mort d'Artus, a été donné à la bibliothèque par les héritiers de M. Didot.

M. Desjardins commence la lecture d'un mémoire de M. Ch. Tissot, intitulé : Remarques sur une borne milliaire trouvée dans le Bahirt es Segui et explication des Itinéraires anciens dans le sud de la province proconsulaire d'Afrique. La borne milliaire en question a été trouvée sur la route de Kabès à Kafsa, à 68 kil. de Kabès et 48 kil. de Kafsa. Elle porte une inscription ainsi conçue :

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<< Imperator Caesar Augusti filius Augustus tribunicia potestate XVI. [L.] Asprenas, consul, proconsul, septemvir_epulonum, viam ex Castris Hibernis Tacapes muniendam curavit [per] legionem Tertiam Augustam. (Millia passuum) centum... >> Cette inscription est de l'an 14 de notre ère, première année de Tibère. Le proconsul d'Afrique, L. Asprenas, est mentionné par Tacite.

Ouvrages déposés. - CORBLET (J.), Des lieux consacrés à l'administration du baptême (cours d'eau, baptistères, églises baptismales, fonds baptismaux, lieux exceptionnels) (Paris, 1878, extr. de la Revue de l'art chrétien); Coutumes des pays, duché de Luxembourg et comté de Chiny, par M. N.-J. LECLERQ; supplément (Bruxelles, 1878, in-4). LAVAL Victorin): 1. Epidémiologie, Qu'était-ce que le tac? (Paris, 1876); 20 Lettres et documents pour servir à l'histoire de la peste d'Arles en Provence de 1720 à 1721 (Nîmes, 1878); 3. Des grandes épidémies qui ont régné à Nîmes depuis le vie siècle jusqu'à nos jours: typhus et épidémies de peste à bubons (Nîmes, 1876); WEBER (Albrecht), Nachtrag zur zweiten Auflage` von Akademische Vorlesungen über indische Literaturgeschichte (Berlin, 1878).

Présentés de la part des auteurs : - par M. Miller : AAMIIPOΣ (Σ7. N.), A6γος εἰσιτήριος εἰς τὸ μάθημα τῆς ἑλληνικῆς ἱστορίας ἐκφωνηθεὶς τῇ 30 Μαρτίου 1878 (Ath., 1878, extrait de l' A0nvaïov); par M. Heuzey: MüNTZ (Eug.), La Renaissance à la cour des papes: la sculpture pendant le règne de Pie II (extr. de la Gazette des beaux-arts).

Julien HAVET.

Le Propriétaire-Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie M.-P. Marchessou, boulevard Saint-Laurent, 23.

DIEFENBACH, die Volksstämme der europäischen Türkei. Frankfurt a M. Winter; FLIGIER, zur præhistorischen Ethnologie der Balkanhabbinsel. u. zur præhistorischen Ethnologie Italiens. Wien, Hölder. (Kirchhoff: cp. Revue critique, 1877, n° 30, art. 139, p. 33.)- Maximi et Ammonis carminum de actionum auspiciis reliquiæ, accedunt anecdota astrologica, rec. LUDWICH. Leipzig, Teubner. 1877. (Eberhard excellent. Anthimi de observatione ciborum epistula ad Theudericum regem Francorum, iter. edid. Rose. Leipzig, Teubner. 1877. (Eberhard : cp. Revue critique, 1877, n° 7, art. 33, p. 105.) STROSE, Deutsche Minne aus alter Zeit, ausgewählte Lieder der Minnesänger des Mittelalters. Leipzig, Barth. (Henrici médiocre.) EBERS, Uarda, Roman aus dem alten Ægypten. Stuttgart, Hallberger. 1877. (Wilcke très-instructif et d'un très-vif intérêt.)

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ROMIZI.
SYLVIA,

Rivista Europea, Rivista Internazionale, Fasc. IV, vol. VII, 16 juin 1878: MORELLI, il sistema del voto limitato nelle elezioni amministrative. CANTU, Monti e l'eta che fu sua - G. B. Della educazione morale nelle Scuole.-P. B. C. D. Considerazioni sulla revoluzione francese. - DE TIYou, Esercizi e gare fluviali delle scuole e universita englesi. La belva ferita. SABATINI, di alcune edizioni del secolo xv. Raggi di sole, scherzo della vita popolare, versione dallo svedese di G. B.PAGANO, critica storica sulla vita e sulle opere di Pietro Dello Vigne, in relazione col suo secolo. Frammento d'un'opera inedita del canonico Leopoldo Pagano. - Rassegna letteraria e bibliografica. - Svezia (G. B.), Germania Scartazzini); Inghilterra (X. Y. Z.); Francia (A. C.); Italia U. B. Rassegna politica (S M.). Note scientifiche. Notizie terarie e varie. Bollettino bibliografico.

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Anzeiger für deutsches Alterthum und deutsche Litteratur, vol. IV, Livraisons 3: M. VOGLER, Sjurdarkvaedi. Die färöischen Lieder von Sigurd. Parté Regin Smidhur. Paderborn, Schöningh. 1877. (K. MÜLSHOFF sans valeur aucune.) - FREIDANK mit krit. exeget. Anmerk. Erausg. von F. SANDVOSS. Berlin, Bornträger. 1877. (E. STEINMEYER : Atestable.) M. HEYNE, Kleinere altniederdeutsche Denkmäler mit ausführlichem Glossar, 2 édt. Paderborn, Schöningh. 1877. (E. STEINEVER livre considérablement amélioré.) A. WILHELMJ, Beitrag zur Controverse von frenle-win und hunzig-win; culturhistorische Studie ant dem Gebiete der Enologie. Wiesbaden, Bechtold. 1876. (E. STEINEVER plein d'erreurs.) — G. STROBL, Ueber eine Sammlung lateiniser Predigten Bertholds von Regensburg. Wien, Gerold. 1877. (E. STEINMEYER: bonne étude.) W. WACKERNAGEL, Deutsches Lesebuch, zweiter Theil Proben der deutschen Poesie seit dem XVI. Jahrh., ed., Basel, Richter. 1876; Geschichte der deutschen Litteratur, 2e éd., 7. P. Martin, vol. I, livrais. 1 et 2, ibid. 1877. (E. STEINMEYER: bonne réimpression; 2o la nouvelle éd. est mise au courant de la cience la plus récente.) M. NISSEN, De fréske findling, etc., 4 Heft Stedesand. 1873-77. (E. STEINMEYER bonne collection de proverbes - K. HILDEBRAND, die Lieder der älteren Edda (Saemunar Edda) herausg., Paderborn, Schöningh 1876. (J. Zupirza : trèsLon, cp. Revue critique, 1877, n° 14, art.58, p. 225.) Th. WissANN, King Horn. Untersuchungen zur mittelenglischen Sprach = und Litteraturgeschichte (Quellen und Forschungen, vol. XVI). Strassburg, Trubner, 1876. (J. ZUPITZA: bonne étude préparatoire à une édition de King Horn. J. T. WINKEL, Maerlants werken beschouwd als Spiegel van de dertiende eeuw. Leiden. Brill. 1877, (J. FRANCK: excellente thèse de doctorat.) L. WEIGAND, Deutsches Wörterbuch, 3. aut., 1. Halbband, in-8°, Giessen, Ricker, 1877; 2. Bd., 1878. (Goм3EPT: rend justice aux efforts constants de M. W., longue étude de

trisons.)

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30 pages sur les mots étrangers contenus dans les deux volumes.) BERNH. SeuFFERT, Maler Müller. Im Anhange Mittheilungen aus Müllers Nachlass. Berlin, Weidmann. 1877. (M. WERNER: très-bonne monographie.) — O. ERDMANN, Ueber Klingers dramatische Dichtungen. Königsberg, Nürnberger. 1877. (E. SCHMIDT: étude pleine de faits et de renseignements; cf. Revue critique, 9 février 1878, no 6, art. 31, p.97)

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E. SCHMIDT, der Text der Uhlandschen Gedichte nach Hollands Revision (1863-1877). L. UNFLAD, Die Goethe- Literatur in Deutschland. München. UNFLAD, 1878; Die Schiller - Literatur in Deutschland, ibid. 1878. (E. SCHMIDT la bibliographie de Goethe est insuffisante; celle de Schiller est meilleure.) F. VON BäRENBACH, Herder als Vorgänger Darwins. Berlin, Grieben. 1878. (E. SCHMIDT ridicule et prétentieux.) R. M. WERNER, Ludwig Philipp Hahn; ein Beitrag zur Geschichte der Sturm und Drangzeit (Quellen und Forschungen, vol. XXII). Strassburg, Trübner. 1877. (B. SEUFFERT: bonne monographie.) - Englische Studien, herausg. von E. KÖLBING, I. Band., in-8°, Heilbronn, Henninger. 1877. (J. ZUPITZA: regrette l'attitude hostile de l'Anglia et des Englische studien. Cf. Revue critique, 1877, no 23, art. 105, p. 370.) Monumenta Germaniae historica, etc. : Deutsche Chroniken und andere Geschichtsbücher des Mittelalters herausg. von der Gesellschaft für ältere deutsche Geschichtskunde, 2. Band., in-4°, Hannover, Hahn. 1878. (M. RÖDIGER: Ouvrage digne de la grande collection à laquelle i! appartient.) J. SEEMULLER, Die Hand-schriften und Quellen von Willirams deutscher Paraphrase des Hohen Liedes untersucht, in-8°, Strassburg, Trübner. 1877. (Quellen und Forschungen, vol. XXIV) (A. WAGNER: bon travail qui fait bien augurer de l'édition que M. S. prépare.) SALOMON HIRZEL (Notice nécrologique par M. L. HIRZEL). -F. SEILER, Kleinigkeiten zur Ecbasis Captivi (réfutation de l'article sévère publié par M. Bartsch dans la Germania (XXII, 97-98) sur l'édition de M. E. Vogt).-J. F. KRäuter, Zwölf Sätze über wissenschaftliche Orthographie der Mundarten. Fetschrift zur vierten Säcularfeier der Eberhard-Karls-Universität zu Tübingen dargebracht von der kgl. öffeutl. Bibliothek zu Stuttgart, in-4°, Stuttgart, Aue. 1877. (E. STEINMEYER: quatre intéressantes dissertations. Cf. Revue critique, 1878, n° 9, art. 49, p. 141.)

En vente à la LIBRAIRIE ERNEST LEROUX

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TRÜBNER'S ORIENTAL SERIES

I

HAUG. Essays on the sacred language, writings and religion of the Parsis. 2. Edition. Un beau vol. in-8°, perc.

20 fr.

II

Texts from the budhist Canon Commonly known as Dhammapada. translated from the Chinese by Samuel BEAL. Un vol. in-8° relié en perc. 9 fr. 30

Le Puy, typ. et lith. Marchessou, boulevard Saint-Laurent, 23.

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