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PARIS.

L'Eglise peut encore moins vivre avec | 1757); il faut de plus s'attacher entièreun principe qui la sape par le fonde- ment à ce qui a été statué sur la matière ment. Voilà pourquoi certains jour-par la quatrième règle de l'Index, et denaux chérissent et s'efforcent de puis par l'ordre du pape Clément VIII, » propager tout ce qui de près ou de loin tend à le faire prévaloir; ils échoueront, nous n'en doutons pas, et le moyen le plus sûr de les faire succomber est de démasquer leurs projets, de les montrer au grand jour, et de rendre évidens pour tous un but qui est d'ailleurs assez connu de ceux qui prennent la peine d'observer et de réfléchir. Le clergé le comprend mieux que personne, et c'est là ce qui cause tant de dépit à ses ennemis. Puisse-t-il ne jamais se départir d'une conduite sans laquelle il n'y auroit plus pour lui ni sûreté de conscience, ni honneur, ni considération, ni ministère fructueux, et par conséquent ni la force, ni la sécurité, ni le bonheur inséparable du courageux accomplissement de ses devoirs!

F.

NOUVELLES ECCLÉSIASTIQUES. ROME. La congrégation de l'Index a fait publier l'avis suivant :

. Comme il a été rapporté d'une manière certaine à la congrégation que les saints livres de l'Ecriture sont imprimés en quelques lieux en langue vulgaire, sans observer les lois salutaires portées à cet égard, et comme il est à craindre de là que, d'après la conspiration des hommes pervers qui existe surtout aujourd'hui, des erreurs ne soient insinuées à l'ombre, et sous la protection de la divine parole, la congrégation a pensé devoir rappeler à tout ce qui a déjà été prescrit, savoir que les versions de la Bible en langue vulgaire ne doivent être permises que lorsqu'elles ont été approuvées par le siége apostolique, ou lorsqu'elles sont publiées avec des notes tirées des saints Pères ou d'auteurs savans et catholiques décret de la Cong. de l'Ind. du 15 juin

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Demain dimanche M. l'Archevêque célébrera la messe dans la chapelle des orphelines du choléra, impasse des Vignes, près la rue des Postes. On sait que c'est le prélat qui a formé cet établissement, auquel il porte un intérêt tout particulier, et qu'il a mis sous la direction de taine d'orphelines doivent faire leur respectables religieuses. Une trenpremière communion. La cérémonie sera suivie d'une quête pour l'établissement qui est entretenu aux frais de l'œuvre de Saint-Vincent-de-Paul pour les orphelins du choléra. La chapelle peut contenir un certain nombre de personnes du dehors.

C'est décidément le dimanche du Bon-Pasteur que M. de Hercé sera sacré à Nantes. Les évêques voisins sont convoqués pour ce jour-là, et beaucoup d'ecclésiastiques et de fidèles se disposent à se rendre à Nantes pour une cérémonie qu'on voit rarement en province. M. de Hercé a désiré passer encore le Carême à Lava! pour y rendre service aux nombreux fidèles qui s'adressoient à lui. Il a fait, avec M. l'évêque du Mans, les honneurs de la ville à M. le cardinal de Cheverus pendant son séjour à Laval.

M. l'évêque de Nancy, après avoir visité plusieurs villes et cantons du diocèse d'Amiens, ne s'est pas rendu moins utile à Amiens même. Le prélat a fait le Jeudi-Saint la cérémonie de la bénédiction des saintes huiles. Le Vendredi -Saint, il a prêché la passion devant un nombreux auditoire. A l'intérêt d'un sujet si attachant pour la piété se joignoit l'inté rêt qui naissoit des récits et des ta

bleaux de l'orateur qui a visité luimême les saints lieux, et qui est plein des souvenirs de ce pieux voyage. Le dimanche de Pâque, le prélat a officié toute la journée à la cathédrale, où la solennité avoit attiré un concours extraordinaire. Après vêpres, il est monté en chaire en habits pontificaux et a prêché sur le mystère du jour.

Nous n'avons dit que deux mots, dans notre Numéro du 26 mars, de la lettre pastorale de M. l'évêque de Périgueux pour son entrée dans le diocèse. Cette pastorale, qui est du 18 mars, respire une sagesse et un esprit de charité qui sont du plus heureux augure pour le succès de l'administration du prélat :

« Nous vous le dirons donc, et nous vous le dirons hardiment. la crainte seule d'aller contre la volonté de Dieu a pu nous faire rompre des liens si doux et si étroits qui nous attachoient, comme prêtre, à l'Eglise de Besançon, Pour nous éloigner de nos proches et de nos amis, de tout ce que nous avions de plus cher en ce monde, il ne nous falloit rien moins qu'un ordre de Dieu, que la manifestation de la volonté du Seigneur, qui, en nous donnant une Eglise veuve pour épouse, a su incliner, en même temps, notre cœur vers elle et v rs ses enfans, qui sont devenus dès lors nos enfans, l'objet de notre sollicitude et de notre tendresse.

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Oui, nous pouvons nous rendre ce témoignage au fond de notre cœur, de ne nous être point appelé nous-même. de n'avoir à nous reprocher ni le moindre désir, ni la moindre démarche dans l'intention d'obtenir la chaine de l'honneur. » Et c'est ce qui nous autorise à dire avec le pape saint Léon : Celui de qui vient le fardeau sera notre assistance et notre appui, et, pour que notre foiblesse ne succombe point sous le poids d'une aussi grande grâce, celui qui nous a conféré la dignité, nous donnera la force : Dabit virtutem qui contulit dignitatem.

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Après une touchante exhortation.

à la paix et à la charité, M. l'évêque prie Dieu de bénir toutes les classes de ses diocésains.

a Bénissez ce clergé, qui n'est pas moins recommandable par ses vertus que par sa doctrine, que par son éloignement pour toute nouveauté, et sa soumission sans réserve aux oracles de la chaire apostolique : bénissez, Seigneur. les dispensa. teurs de vos dons; qu'ils soient tous des anges de paix, tempérant la fermeté nócessaire aux ministres de la region, par la douceur et la charité du bon pasteur: bénissez ces vétérans du sacerdoce qui doivent éclairer notre marche, ce senat respectable qui, suivant l'expression de l'Esprit saint, doit former autour de nous une couronne de freres : Lénissez les élèves du sanctuaire, l'objet d'une sollicitude toute particulière de notre part, d'une affection toute paternelle, comme étant notre espérance la plus chère, l'espérance du diocèse. Ils seront bénis ces jeunes lévites, eux et ces dignes ecclésiastiques que Dieu leur a donnés pour guides et pour modèles, ces prêtres dévoués qui consacrent à leur éducation tous leurs soins, leurs travaux et leurs veilles.»

Une œuvre des Bons-Livres vient d'etre établie à Limoges, à l'instar de celle de Bordeaux: On sait que M. l'abbé Barrault a fondé dans cette ville une bibliothèque pour répandre de bons livres. M. l'abbé Roussier vient de former à Limoges quelque chose de semblable; c'est un cabinet de lecture gratuit, et où cependant se trouveront les livres les plus usuels et les plus utiles. M. l'évêque favorise cet établissement, et l'a reconnu comme association religieuse enrichie de faveurs spirituelles. Le prélat a érigé l'œuvre le dimanche 27, et a prononcé en cette occasion un discours sur les bons livres et sur l'importance de les répandre. On espère que cette œuvre excitera, là comme ailleurs, l'intérêt des amis de la religion.

M. Verdier, curé de Condrieux, I siége depuis 1828. Né à Gênes le 6 juin 1772, M. Podesta avoit occupé des places importantes, et s'étoit distingué par ses talens dans la chaire. M. le cardinal Spina, archevêque de Gênes, le fit son grand-vicaire. Depuis, M. Podesta devint prévôt de la collégiale de Notre-Dame des Vignes. Cette dignité qui le mettoit à la tète d'un chapitre lui donnoit en même temps l'administration d'une grande paroisse de Gènes. Il remplit cette double fonction de manière à se concilier l'estime générale. Nominé à l'évêché de Saluces en 1827, il fut préconisé à Rome le 28 janvier 1828. Là, comme à Gênes, ses heureuses qualités le firent aimer. Une longue uraladie l'a conduit au tombeau dans un âge peu avancé.

diocèse de Lyon, a bénit le 25 mars l'église de Trèves, dans son canton, laquelle a été récemment agrandie et restaurée. Le zèle avec lequel les habitans ont secondé les soins de M. Chavanne, desservant de Trèves, a même permis de réparer le presbytère et de fonder une école dont la paroisse étoit privée jusque là.

M. Darfeuille, curé d'Issoire, diocèse de Clermont, a consacré une somme de 4,000 fr. à la restauration intérieure de l'église d'Issoire, qui mérite d'être mise au rang des monumens religieux de la province.

Le jugement que nous avons porté sur les affaires du Jura catholique n'est pas seulement le nôtre, c'est celui de tous les amis de la religion et de l'ord: e; c'est celui même des protestans sages et inodérés, c'est celui du Constitutionnel Neuchatelois. Cette feuille qui est rédigée par des protestans blâme ouvertement les arti

Trois Frères dits des Bonnes - OEuvres, de Renaix en Belgique, ont été installés à la maison de la Cambre, pour donner l'instruction aux détenus. L'administration a senti que la religion étoit le meilleur moyen, hélas! disons le mot, étoit le seul moyen efficace d'améliorer le moral des détenus. La philantropie a fait des essais plus ou moins infructueux. En inspirant l'amour du travail et en établissant une certaine discipline, cles de Baden, la spoliation des couelle a pu réprimer quelques désor-vens et les procédés violens employés dres, mais elle n'est point allée à la dans le Jura. Il est assez piquant de source du mal. La surface a pu chan- voir comment elle s'exprime à cet ger, mais l'intérieur, les habitudes, égard: les penchans restent les mêmes. On doit donc applaudir à la sagesse de l'administration qui a pris pour la Cambre la mesure dont nous avons parlé. Nous avons fait connoître pré

cédemment l'institut des Bons-Frères

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Chaque fois, dit-elle, que nous citons quelque article de l'Ami de la Justice, ou que nous parlons nous-mêmes de ce qui se passe en Suisse à l'égard des catholiques, les journaux révolutionnaires se récrient et feignent de ne rien comprendre à la coïncidence de nos principes avec ceux des hommes d'une confession différente et du clergé romain en particulier. Rien n'est pourtant plus naturel que cette coïncidence. Notre journal n'est point un journal religieux; nous ne nous y occupons pas de dogmes, ce n'est pas notre Le 16 février, le diocèse de Salu- mission; mais comme nous croyons les ces, en Piémont, a perdu son évèque, principes d'une saine politique insépara M. Antoine Podesta, qui occupoit cebles de la justice et du respect des choses

de Renaix. Cet institut qui embrasse tous les genres de bonnes œuvres obtient des encouragemens en Belgique. Le roi Léopold et la princesse sa femine ont souscrit pour 600 fr. en sa faveur.

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Ainsi, quand nous voyons qu'on dépouille de ses biens une corporation religieuse, nous disons: C'est une injustice, c'est une atteinte portée à la propriété, c'est un acheminement à dépouiller d'au. tres corporations, c'est de l'arbitraire. Quand on attaque de bons religieux, comme ceus d'Einsiedeln et de Muri, nous disons: Qu'on laisse en paix ces hommes paisibles qui ne font de mal à personne, dont l'opulence répand l'aisance autour d'eux, bien plus qu'ils n'en jouissent euxmêmes, et dans la vie desquels il entre bien plus de dures privations qu'on ne le croit généralement. Quand on établit avec intention dans un journal le compte des biens que possèdent en Suisse les couvens, nous disons: Souvenez-vous qu'ils ont défriché le pays, conservé la science et adouci les mœurs; mais encore une fois n'oubliez pas que ces biens ont été légitimement acquis, que les couvens possédent à aussi bon titre que qui que ce soit; qu'en attaquant les propriétés des corporations, vous n'avez pas raison de respecter les grandes fortunes privées; que des grandes aux petites il n'y a pas de limites, et que vous sapez les bases de la société,

nous nous rencontrons et devons néces. sairement sympathiser avec le clergé de l'Eglise romaine. Nous serons de son avis

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Saintes, comme nous envisageons la politique basée sur la morale comme la scule dont la durée soit probable et la réussite presque certaine, il arrive tout naturel!e-toutes les fois qu'il s'agira de justice et de ment que dans les questions où celle der- respect pour la religion : nous avons à cet nière est intéressée, nous prenons parti égard, ainsi que sur les idées de stabilité contre ceux qui l'outragent, nous désap- et de légitimité, les mêmes principes que prouvons ce qui est mauvais et nous atta- lui, et loin de nous défendre de cette symquons ce qui est injuste. pathic nous nous en faisons un honneur. Qu'on parle après cela tant qu'on vou dra de l'union liberticide du trône et de l'autel; cette ligue prétendue n'est que l'alliance de ceux qui se défendent contre ceux qui se réunissent pour attaquer; car c'est chez ces derniers qu'il y a un complot formé; c'est entre l'impiété et la révolution qu'il existe une alliance, scellée de sang comme celle des brigands, une confédération pour piller et détruire. En France, en 1793, on fermoil les temples en même temps qu'on faisoit couler le sang royal; en 1830, on abattoit les croix et on pilloit l'archevêché à mesure qu'on effaçoit les fleurs-de-lis; à Liefstal on a chassé les ministres du culte en mêine temps qu'on s'est révolté contre l'autorité légitime; aujourd'hui et dans plusieurs parties de la Suisse, c'est à la suite des révolutions politiques qu'on dépouille les chapitres et qu'on menace les couvens, que les catholiques libéraux veulent s'affranchir de l'autorité du Pape, que les protestans dans certains cantons veulent mettre les pasteurs dans la dépendance, les faire nommer par les paroisses, les réduire à la condition d'employés subalternes ou de chantres d'église. Partout, cn Enfin, quand on veut forcer toute une un mot, de l'attaque dirigée contre l'aupopulation à accepter un nouveau régime torité civile on a passé presque instantaecclésiastique, nous demandons qu'on ne nément à des attaques contre les prêtres. touche à des choses qui, d'après la foi pas Plût à Dieu donc qu'il n'y cût d'alcatholique, se rattachent au domaine des liance qu'entre les légitimistes et le clergé, croyances; et, tout en blâmant les désor-les peuples y gagneroient en repos et en dres que ces tracasseries ont occasionnés, nous trouvons que les arbres papaux ne devroient pas encourir le châtiment d'une occupation militaire, puisque c'est au moyen d'arbres de liberté que des gouvernemens sévères sont parvenus au pouvoir.

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moralité; mais il n'y a de coalition réelle qu'entre l'irréligion et le radicalisme, et personne n'y gagne que les cabaretiers et quelques rédacteurs de gazettes révolu

tionnaires. »

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POLITIQUE.

Un journal étranger croit plaisanter

l'exécuter de nouveau avec le même succès et le même bonheur. Ainsi vous remettez en question ce qui est décidé, savoir que les passementiers et les lam

agréablement sur le complot de Neuilly, en faisant remarquer combien il est singulier de voir une conjuration montée comme celle-là, par un commis papetier, un courtier-marron, un maître de lan-pistes sont précisément ce qu'il y a de gues un passementier, deux ouvriers corroyeurs, un tailleur, un marchand de bric-à-brac, un tourneur en cuivre, un perruquier, un lampiste et une couturière.

D'abord on pourroit faire à ce journal la même réponse que fit un jour le lieutenant-général de police Sartine, à ceux qui s'étonnoient de ne lui voir employer à son espionnage que des fripons et autres personnages tarés: Trouvez-moi des honnêtes gens qui veuillent consentir à faire ce métier; je ne domande pas mieux que de leur accorder la préférence. Ne seroit-il pas singulier aussi que, pour organiser des attentats et des guet-apens, on ne trouvât pas que les gens du commun fussent assez bons, et qu'il fallût aller chercher des sujels d'élite dans les rangs supérieurs de la société! Mais ici l'embarras est moins grand pour répondre à ce qui cause la surprise du journal étranger.

Vous ne pouvez pas concevoir, lui dira. ton, que des passementiers, des corroyeurs, des marchands de bric-a-brac, des perruquiers et jusqu'à des couturières, osent se croire capables de mettre la main à des choses pareilles, et d'exécuter des plans de subversion politique. Mais savezvous bien qu'en parlant ainsi vous venez faire le procès à notre révolution? Savezvous bien que ces mêmes commis papetiers, ces mêmes ouvriers lampistes et ces mêmes garçons tailleurs que vous cherchez à ravaler, sont ce qu'elle a compté de plus beau et de meilleur parmi ses héros, et que sans eux elle seroit encore à naître? Si vous l'avez oublié, ils s'en souviennent à votre place; el ils s'en souviennent si parfaitement, que c'est là ce qui leur donne l'idée de recommencer. Ce qu'ils ont vu, ils croient qu'ils peuvent le revoir; et ce qu'ils ont exécuté à la grande satisfaction des hommes politiques qui les en remercient encore tous les jours avec force complimens, ils croient pouvoir

mieux pour les opérations où vous vous étonnez de les trouver. Et puisque l'occasion se présente d'en faire la remarque, voilà pourquoi le malentendu n'est pas près de finir. Car plus la raison du peuple est bornée, plus il est difficile de lui faire comprendre que ce qui vaut un jour des applaudissemens et des récompenses nationales, ne doit valoir un autre jour que des hontes et des châtimens. Naturellement, après avoir joui de l'anarchie avec approbation et privilége, il est disposé à garder long-temps la permission.

Quant aux couturières que vous êtes si surpris de rencontrer dans ces sortes d'affaires, ceci n'est pas nouveau non plus. La révolution a fait voir d'autres héroïnes au milieu des barricades; et qui pis est, elle leur a donné des pensions, des décorations, des bureaux de poste et de tabac. Et vous vous étonnez ensuite de les revoir comme les autres mêlées aux événemens qui rappellent leurs plus belles fêtes! Tout cela cependant est parfaitement dans l'ordre que le désordre a créé autour de nous.

Ne croyez pas que la question du divorce soit une cause perdue et abandon. née par ceux qui s'en sont déclarés les défenseurs. Il suffit qu'elle porte atteinte à la morale, et que ce soit une chose condamnée par l'Eglise, pour que les écrivains irreligieux et révolutionnaires n'y renoncent jamais. En attendant que le progrès de la raison publique se trouve assez avancé pour permettre au monde de jouir sans trouble ni empêchement du bienfait de cette immoralité, deux de nos journaux se chargent d'enseigner aux heureux disciples de leur école, comment il faut s'y prendre pour secouer le joug conjugal, et se procurer par anticipation les avantages du divorce. Il faut, selon eux, procéder de la même manière que deux modèles d'époux qu'ils citent,

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