| 1785 - 498 pagina’s
...Quand Bertrand fçut d'Henri la brutalité de ces gens , il jura dans fon langage ordinaire en difant à ce Prince , à Dieu le veut ces gars ne vous doutent en rien, mais je vous le rendra^ lien brief. Il fit donc inveftir cette ville , & fe mit à la tête des plus braves pour commencer... | |
| 1785 - 494 pagina’s
...Quand Bertrand fçut d'Henri la brutalité de ces gens , il jura dans fon langage ordinaire en difant à ce Prince, à Dieu le veut ces gars ne vous doutent en rien, mais je vous le rendray i bien brief. Il fit donc inveftir cette ville, & fe mit à la tête des plus braves pour commencer... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 486 pagina’s
...sceut d'Henry la brutalité de ces gens, il jura dans son langage ordinaire, disant à ce prince : A Dieu le veut , ces gars ne vous doutent en rien ,• mais je vous le rendra)- bien brief. Il fit donc aussitôt investir cette ville, et se mit à la tête des plus braves... | |
| B. Du Guesclin - 1824 - 490 pagina’s
...sceut d'Henry la brutalité de ces gens, il jura d-ans son langage ordinaire, disant à ce prince ; A Dieu le veut , ces gars ne vous doutent en rien ; mais je votts le rendray bien brie/', II fit donc aussitôt investir cette ville , et se mit à k tête des... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1836 - 656 pagina’s
...sceut d'Henry la brutalité de ces gens , il jura dans son langage ordinaire , disant à ce prince : A Dieu le veut, ces gars ne vous doutent en rien, mais...bien defendre. Tandis que Bertrand les amusoit par le» gens de trait qui lancoient contre eux leurs dards et leurs flèches, Hu»ues de Caurelay choisit... | |
| Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - 1836 - 664 pagina’s
...sceut d'Henry la brutalité de ces gens , il jura dans son langage ordinaire , disant à ce prince : A Dieu le veut, ces gars ne vous doutent en rien, mais je vous le rendray bien bricf. Il (it donc aussitôt investir cette ville , et se mit à la tète des plus braves pour commencer... | |
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