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manananês as nanananas
TABLE
DES CHAPITRES contenus en ce Livre.
PREMIERE PARTIE.
Du Bonheur de cette vie, & de
l'idée qu'on en doit avoir.
CHAP.I. Qèche le bonheur de la plû-
Vel eft l'obstacle qui em-
part des hommes,
page I
12
CHAP.I. Quel est le remède le plus pre- fent contre cet obfiacle,
CHAP.III. Ce que l'on doit entendre par
le bonheur dont il s'agit,
CHAP.IV. En quels fens on peut douter.
ou s'affurer de la possibilité d'una
bonheur parfait en cette vie,
CHAP.V. Que les hommes peuvent faire
d'eux-mêmes des actions naturel-
14
lement bonnes, quoy qu'inutiles
pour le Ciel,
20
CHAP.VI. De l'ordre que l'on doit tenir
dans la recherche du fouverain
bien de cette vie,
40
CHAP.VII. Du fouverain bien en gene-
42
en quoy il
44
CHAP.VIII. Du bonheur de chaque hom- me en particulier,
confifte.
CHAP. IX. Que cette idée du bonheur est
fi naturelle, qu'ele se prefente à
l'esprit de ceux-mêmes qui en par-
lent le plus diversement, 58
CHAP.X. Zenon & Epicure juftifiez en
leur fentiment touchant le bon-
De la nature de l'ame, de fes puif-
fances & de fa liberté, qui font
les moyens dont le libre ufage
doit nous rendre heureux en
cette vie.
CHAP.I.
Ve l'opinion d'Ariftote sur
ce fujet eft dangereuse
obfcure,
81
CHAP.II. De l'origine de l'équivoque du
mot d'ame, & des faux raisonne-
mens où elle engage.
89
CHAP.III. Que la nature de l'ame est
d'être une fubstance qui n'a pour
attribut que la penféo, d'où l'on
conclud qu'elle eft fpirituelle & im-
98
mortelle,
CHAP.IV. Que cette idée de nôtre ame eft
fi claire, qu'elle diffipe toutes les obf-
curite de la definition qui eft en u
fage dans l'école, & la détruit en-
tierement,
107
118
144
CHAP.V. Quel est le grand prejugé qui
fait penser que les bêses ont une ame
qui n'est pas corps,
CHAP.IX. Que ce qu'on appelle l'ame des
bêtes n'eft que leur fang même, 134
CHAP.X. Comment les bêtes peuvent agir
mieux que nous en plufieurs rencon-
tres, fans qu'il foit befoin d'admettre
en elles une ame qui connoiffe, 138
CHAP.XI. Que les bétes agiffent comme
des automates, fans aucune connoif-
fance, felon Ariftote méme,
CHAP.XII. Des facultez de l'ame. Qu'el-
les ne font que les diverses fonctions
d'une méme fubftance tres fimple &
indivifible, 148
CHAP.XIII. Que toutes les puiffances ou
facultez de l'ame se rapportent à
deux principales: l'Entendement o
la volonté, qui font à fon égard com-
me l'action & la paffion d'une méme
fubftance,
CHAP.XIV. De la liberté. Que l'homme
eft libre dans l'ufage de fes connoif-
fances de fes volontez,
151
156
CHAP.XV. Des doutes que les hommes ont
formez de leur liberté,
pourquoy
il s'en trouve qui les authorisent mal-
gré l'amour qu'ils ont pour leur propre
157
bien,
CHAP.XVI. Eclairciffement des doutes les
plus fpecieux fur le fujet de la liberté,
165
CHAP.XVII. Ce que c'eft proprement que
la liberté de nôtre ame,
CHAP.XVIII.En quel fens on doit prendre
ce principe de Morale: Que la volonté
communique la liberté à l'esprit, 194
179
A
TROISIEME PARTIE.
De l'application & du droit ufage des deux
puiffances de notre ame, qui confifte
trouver les moyens neceffaires Pour fortifier fa raifon, & pour la difpofet à
juger toûjours fi bien de tout ce qui eft
bon ou mauvais dans la vie, que la YO❤
lonté ne foit pas trompée dans fes
pourfuites.
Vels font ces moyens,
quoi on les peut reduire, 202
CHAP.II. Premiere verité pour fervir de
conduite à l'égard de Dieu, 208
CHAP.III Sila vraye connoiffance de Dieu
fuffit pour le faire aimer plus parfaite-
ment que les autres biens,
CHAP.IV. Seconde verité pour fervir de
conduite à l'égard de foy-méme, 241
CHAP.V. Troifiéme verité pour servir de
217
TABLE DES CHAPITRES.
:
286
conduite à l'égard du prochain, 248
GHAP. VI. Eclairciffement du premier
doute fi l'on peut raisonnablement
rapporter tout à foy-méme, fans pen-
fer aux au res, 258
CHAP.VIII., Eclairciff ment du troifiéme
doute: Quelle obeiffance on doit aux
loix & à toute forte de fuperieurs, foit
dans l'Etas, foit dans la Religion, 262
CHAP.IX. Dela maniere de fe deteeminer
dans le doute, & d'en fortir avec feu-
reté de conscience dans toutes les cho-
fes qui fe prefentent, & qui viennent
en ufage,
CHAP X. Cinquiéme & derniere verité touchant notre conduite au regard de tout ce qui peut nuire ou contribuër au contentement de cette vie, aprés vous étre déterminez à un party,
CHAP.XI. Que la connoiffance des verite?
precedentes rend la vertu aisée. &
fuffit pour nous rendre heureux de
nous-mêmes, 307
CHAP.XII. Que la raison est la méme
dans tous les hemmes, bien qu'ils s'en
fervent diverfement; & qu'il eft toû
jours vray de dire que la certitude de
nos connoiffances fait la fermeté de nos
refolutions, qui est la vertu s bien que
les plus éclairez ne foient pas toujoure
les plus plus vertueux. 315
193
L'ART