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ERRATA

Page 3 du tirage à part et 105 du Bulletin, lire note 1, 8° ligne, ainsi au lieu de aussi.

Page 11 du tirage à part et 113 du Bulletin, lire invention des reliques au lieu d'inventaire.

Ibid. du tirage à part et du Bulletin, lire à la note 3, page 76 au lieu de no 76.

Page 16 du tirage à part et 118 du Bulletin, lire 1200 marcs environ au lieu de 600.

Page 20 du tirage à part et 122 du Bulletin, au lieu de Hugues de Bouville, noble sénonnais, lire Hugues de Bouville, noble, Sénonais.

Ibid. Au lieu de qui a appartenu aux Bénédictines de Saint-Julien, lire: qui a appartenu peut-être aux Bénédictines de Saint-Julien, mais provient certainement de l'abbaye de Saint-Julien de Tours.

Page 25 du tirage à part et 127 du Bulletin, lire à la note 7 niellés au lieu de nellés.

Page 26 du tirage à part et 128 du Bulletin, à la note 5, lire Leodebaldi au lieu de Leodebadi.

Page 28 du tirage à part et 130 du Bulletin, à la note 1, après coronas argenteas, supprimer 30.

Page 31 du tirage à part et 133 du Bulletin, lire note 4 récits au lieu de récita.

Page 36 du tirage à part et 138 du Bulletin, à la note 3, lire saint Gilles, abbé en Languedoc, 711-725, et non au Languedoc, 711-725.

Page 40 et 41 du tirage à part, 142 et 143 du Bulletin, restituer ainsi qu'il suit la phrase commençant ainsi : Sans nous arrêter, etc.: « Sans « nous arrêter aux magnifiques œuvres d'art que l'empereur Constantin, « ses descendants, plus tard les papes, et dont l'énumération un peu suspecte, encombre les pages du Liber pontificalis, donnèrent aux églises de « Rome. »

Page 42 du tirage à part et 144 du Bulletin, modifier ainsi les dix dernières lignes Or l'argent fin ayant, il y a à peine quelques années, une valeur moyenne de 150 à 200 francs le kilogramme, il faut diminuer ce prix d'un peu moins d'un cinquième, soit d'environ 30 francs, car le cuivre, lui aussi, a une valeur vénale, on aura ainsi 23,970 livres pour la valeur

de l'argent, et un millier de francs, ou environ, pour celle du cuivre. Mais il ne faut pas oublier qu'au ve siècle de l'ère chrétienne, l'argent étant au moins cinq ou six fois plus rare qu'aujourd'hui, sa valeur intrinsèque, en était d'autant plus grande. Et, de plus, il faut ajouter que, d'après les tables de Leber, sa valeur extrinsèque, ou pouvoir, était sept fois plus grande que de nos jours. Il faudra donc multiplier la somme ci-dessus par 7 plus 5 ou 6, soit par 12 ou par 13. Là-dedans n'est pas compté le prix de la main-d'œuvre, très artistique, au moins pour l'époque.

Page 64 du tirage à part et 166 du Bulletin, rectifier le chiffre de 1,500 francs, et lire de 150 à 200 francs, prix moyen du kilogramme d'argent aujourd'hui.

Page 67 du tirage à part et 169 du Bulletin, lire martyre de saint Étienne au lieu de martyr.

Page 123 du tirage à part et 225 du Bulletin, lire à la 6 ligne de la page eorumdem au lieu de eorum dem.

Page 125 du tirage à part et 227 du Bulletin, pl. VI. La qualification d'Immaculée donnée à cette vierge ne paraît pas exacte, parce qu'elle semble avoir porté l'enfant Jésus. V. d'ailleurs le n° 52.

Ibid., 28 ligne, lire quam nummusin archa au lieu de nummusa archa. Page 149 du tirage à part et 251 du Bulletin, le numéro 123 bis a été placé par erreur aux cuivres, il fait partie de l'argenterie.

Page 155 du tirage à part et 257 du Bulletin, no 218, lire dans un cadre en bois noir, et supprimer colorié.

Page 157 du tirage à part et 259 du Bulletin, à la note 1, lire E. Molinier et non S. Molinier.

Page 158 du tirage à part et 260 du Bulletin, à la note 1, même correction.

Page 159 du tirage à part et 261 du Bulletin, no 243, à la 3o ligne, lire blancs et or au lieu de blanc et or.

Page 160 du tirage à part et 262 du Bulletin, no 248, lire Bajulans au lieu de Bayulans.

Page 165 du tirage à part et 267 du Bulletin, no 278, à la 3o ligne, lire au dos un Christ crucifié aux bras rapprochés, au lieu d'un Christ aux bras rapprochés.

Dans l'intitulation de la planche XI lire Candace au lieu de Candale.

RECTIFICATIONS ET ADJONCTIONS

I. La classification des objets ayant fait partie du trésor actuel de la cathédrale d'Auxerre s'étant trouvée modifiée, par suite de divers remaniements, nous la redonnons comme il suit, et sous sa forme définitive : Manuscrits: 25. — Imprimés, 18. — Ivoires, 45. — Bois, 28. — Argenterie, 15. Cuivres, 90, dont huit croix processionnelles. Émaux, 48. Gravures et dessins, 7. Miniatures, 10. peints, 6. Faïences et verreries, 21.

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Peintures, 30.

Tapisseries, 13.

Vitraux

Varia, 31.

En tout, 387 objets. La plupart des objets ajoutés ont été mis en supplé

ment.

2. Sur la valeur des trésors de Saint-Didier et de 1531, nous ne saurions trop répéter que nos estimations sont, pour une bonne part, hypothétiques. D'ailleurs, dans ces évaluations, nous avons fait entrer pour une bonne part, le grand prix qu'aurait aujourd'hui, à nos yeux, des spécimens aussi parfaits de l'orfévrerie de la décadence de la période gallo-romaine, ou même de la première époque mérovingienne, ainsi que des xiv et xv° siècle. Ceux-ci surtout sont, du moins pour la France, aussi rares que recherchés. C'est pourquoi nous croyons être plutôt au-dessous qu'au-dessus de la vérité, en portant à un million environ la valeur de chacun de ces trésors.

Il ne faut pas perdre de vue que la main-d'œuvre, surtout quand elle est très artistique, est parfois plus chère que le métal précieux lui-même. On doit aussi y ajouter le bénéfice légitime du vendeur et des intermédiaires. Qu'il nous soit permis d'en citer un exemple très moderne :

Il y a quelques années, l'honorable M. Lechien, orfèvre en notre ville, a vendu à une personne habitant alors Auxerre, une argenterie du poids d'un peu plus de 22 kilos pour le prix de 10,000 francs. En portant à 200 francs la valeur vénale du kilogramme d'argent, on voit que le coût de la main-d'œuvre et les autres frais ont dépassé le prix de l'argent luimême. Et pourtant cette argenterie, quoique de fort élégant style Louis XV, n'était rien moins qu'artistique. Ceux que la question de la valeur intrinsèque et relative de la monnaie, suivant les temps et les lieux intéressent, feront bien de consulter trois articles du vicomte d'Avenel, intitulés: La Fortune mobilière dans l'Histoire et publiés dans la Retue des Deux-Mondes, les 15 avril, 15 juin et 1er août 1892.

TROUVAILLE DE VILLIERS-NONAINS

DESCRIPTION DES TYPES

Par M. MIGNOT.

A la séance du 7 juin 1891, M. Manifacier a signalé une trouvaille de monnaies faites à Villiers-Nonains, commune de SaintBrancher, entre Cussy-les-Forges et Quarré-les-Tombes. 167 pièces de monnaies françaises du xve siècle ont éte trouvées dans une corne de bœuf. Malgré les démarches faites, il a été impossible de faire l'acquisition de cette trouvaille pour le médailler de la Société. Mais nous avons eu à notre disposition, pendant quelques jours, 91 de ces pièces prises au hasard dans le lot entier. Elles représentent treize ateliers et offrent quarante variétés ou pièces différentes. Ce sont des blancs de Charles VI, roi de France, et des ducs de Bourgogne, Jean sans Peur et Philippe le Bon. Ce petit trésor a sans doute été enfoui à l'époque du siège d'Avallon, en 1453, au moment où les bandes du capitaine Forte-Épée parcouraient l'Avallonnais en tous sens. Nous devons adresser des remerciements à MM. Manifacier et Mignot, qui se sont empressés de faire la description des 91 pièces qu'ils ont eu à leur disposition et de nous en donner la nomenclature pour le Bulletin. Voici la description très détaillée donnée par M. Mignot:

ROYALES

CHARLES VI, 1380-1422.

Sans points secrets (probablement Paris?)

1- Blanc dit Guenar, RTROLVS FRANⱭORV Rαx. Ecu incouronné, aux trois lis, point entre les deux premiers.

R

SIT ROma dni barαdiatv. Croix cantonnée de deux couronnes et de deux fleurs de lis. Les mots séparés par des doubles annelets. Hoffmann, n° 22. (Monnaies royales de France, 3° race.)......................

NOMBRE de Pièces.

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