Almanach des musesChez Delalain, 1773 |
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Populaire passages
Pagina 186 - Écrasent les enfants, et, las de tant d'efforts, Boivent le vin d'autrui sur des monceaux de morts. Le lendemain matin, on les mène à l'église Rendre grâce au bon Dieu de leur noble entreprise, Lui chanter en latin qu'il est leur digne appui, Que dans la ville en feu l'on n'eût rien fait sans lui, Qu'on ne peut ni voler, ni violer son monde, Ni massacrer les gens, si Dieu ne nous seconde.
Pagina 80 - Mars l'enlève au séminaire , Tendre Vénus, il te sert : Il écrit avec Voltaire, Il sait peindre avec Hubert, Il fait tout ce qu'il veut faire ; Tous les arts sont sous sa loi : De grâce, dis-moi, ma chère, Ce qu'il sait faire pour toi.
Pagina 20 - Enfin , par tes vertus , faire admirer ton rang , Ce fut là ton heureux ouvrage , Monthion. Que ce marbre, à jamais respecté, Transmette à la postérité Nos maux et tes bienfaits , ta gloire et notre hommage.
Pagina 219 - Salency, pastorale en trois actes, mêlée d'ariettes ; représentée pour la première fois, par les comédiens Italiens ordinaires du Roi, le lundi 28 février 1774, précédée Je réflexions sur cette pièce, mêlée de quelques observations sur les spectacles.
Pagina 114 - Les plus beaux moments de ma vie Sont donc ceux que je n'ai point vus! Vous avez orné mon image Des lauriers qui croissent chez vous : Ma gloire, en dépit des jaloux, Fut en tous les temps votre ouvrage.
Pagina 89 - J'aimerais fort un esprit délicat, Profond et fin, juste avec étendue, Qui, pour ne pas trop éblouir ma vue, D'un voile doux sût couvrir son éclat ; Qui sût, pourtant, tout voir et tout connaître, Sût, avec Locke , analyser son être, Avec Montaigne , épurer sa raison , Et, se trouvant toujours ce qu'il doit être , Pût, au besoin, goûter une chanson.
Pagina 47 - Pour lui ta main légère assemble à l'aventure Une flottante chevelure Qu'elle attache négligemment. Hélas ! s'il prévoyait les pleurs qu'il doit répandre ! Crédule, il s'abandonne à l'amour, au bonheur; Dans ce calme perfide , il est loin de s'attendre A l'orage affreux du malheur.
Pagina 50 - C & leurs combats, & leur viftoire ;' je les compare aux belles fleurs, qui des campagnes font la gloire : elles rejettent mon encens , & ce qu'on aura peine à croire, me traitent dans leur humeur noire» prefque auflî mal que leurs amans.
Pagina 172 - Je crois Ferney plus beau. Les regards étonnés, Sur cent vallons fleuris doucement promenés, De la mer de Genève admirent l'étendue; Et les Alpes de loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéâtre enferment...