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brielle de Vergy, en un acle, | Campagne, intermède, en en vers. Demétrius, tra-3actes. gedie-lyrique, en 3 actes.

Curtius, idem. Sémiramis,

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NYON (Jean-Luc ) aj. Catalogue de Courtenvaux,

idem. Les Charmes de la 1782, in-8°.

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Essai sur le patois Jarrair

OBERLIN BERLIN (Jérémie-Jacques) | niversité.- Litterarum omnis ne à Strasbourg, en 1735, aevi fata, tabulis synopticis professeur et bibliothécaire exposita, in-8°. Argent, 1789. de l'université de cette ville, directeur du Gymnase, bi-du comte du Ban-de-la-Ro bliothécaire de l'Ecole cen- che, in-8°. Strasbourg, 1775. trale, et membre associé de -Exposé d'une, découverte l'Institut rational, a publié faite au Forum de Rome, par les ouvrages suivans: Ovidü| M. le chevalier de FredenTristia ex Ponto et Ibis, in-8°. hein en 1789, in-8%, avec fig. 1778. Vibius Sequester cum 1796.. 1796.- Essai daunales de la comment. in-8°. 1778. Argent, vie de Jean Guttemberg, inHoratii carmina typis et venteur de la typographie, sumptu, Rolandi et Jacobi, 4 Strasbourg, an do. L'étude mai 1788. Argent. Taciti de la langue allemande du opera cum comment. in-8°.. moyen âge a beaucoup occupé 4 volumes. Lipsiae, 1801.-le citoyen Oberlin. Ia puItapuMiscella litteraira Argentora-blié les ouvrages suivans tensia, in-4°., Arg. 1770... qui s'y rapportent. Joh. Museum Schoepflini. T. I. La-Georgü Scherzü, un vol. d. et pides, marmora, vasa, iu-4°. £. P. Argent. Glossarium Argent. 1773. cum fig. Le germanicum medü aevi diasecond volume va paraître, lecti potissimum Suevicae, ediil comprendra lares, nummos, tum, illustratum, suppletum geminas, Orbis antiqui moin-fol. 2 vol., 1781 et 1784. numentis suis illustrari primæ lineæ, 2o.édition in-8°. Argent. 1789. -Rituum Romanorum tabulæ, editio in-8°. 1784 Argent. Artis diplomatica, primæ lineæ, in-8°. Argent, 1788. Ces quatre traités élémentaires lui servent pour Jes leçons, qu'il donne à l'u

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Bihtebuoch, oder Beichtbuch aus dem 14, Jahrhundert mit grossen, in-8°. Strasbourg. | 1785. Dissertatio de Bonerü gemma, fabulas centum è phonascorum germanorum aevo complexa, in-4°. Argent, 1782.

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Diatribe de Conrado Herbi polita phonasco germano Sace

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13, in-4°. 1782. De Joh. Tauleri, predicatoris germani, dictione vernacula et mystica, in-4°.. Arg. 1786.—De Joh. Geileri Cæsaremontani vulgo von Kaysersberg, scriptis germanicis, in-4°. Argent, 186.Jugendorum Marium fluviorum que omnis aevi molimina in-4°. J. H. Prox de poetis germanis Alsatia eroticis medü aevi, vul go von den elsassischen minnetingern, in-4°. Argent, 1786, De Jac. Tev ngero, vulgo de Koenigshoven, chronici Alsatia auctore, in-4°. Arg. 1789. Le professeur Oberlin a donné aussi le premier apperçu de la statistique de la ci-devant Alsace, en publiant pendant dix ans depuis 182, l'Almanach d'Alsace. Enfin il a entrepris l'Alsatia Litterata, pour laquelle feu M. Schoeflin lui a transmis beaucoup de matériaux. Ces -deux premières parties ont paru en 1782 et 1786.

OLAGARRAY (Pierre) ministre protestant du pays de Labour, où il vivait au commencement du 17. siècle. Il a fait pour la Navarre Française une des histoires particulières la plus supportable pour le temps. On y trouve beaucoup de recherches curieuses classées avec methode. Marca parle de cet ouvrage aveé éloge, et remarque surtout que les troubles de la religion y sont présentés avec une modération rare chez un ministre calviniste. Il y a

des provinces plus importantes qui ne peuvent pas offrir une aussi bonne histoire, ou même qui n'en ont encore aucune. L'ouvrage d'Olagarray est intitulé: Histoire des comtes de Foix, Béarn et Navarre, Paris, 1609, infol.

OLIVE (Jean) jésuite de Cahors, mort en 1636, âgé de 50 ans, à Bordeaux, où il était prefesseur de grammaire. Il a traduit le livre de l'Amour Divin de Charles Scribanius, et a fait quelques odes latines et françaises insérées dans la Couronne du Parnasse de Guyenne, Bordeaux, 1620.

OLIVIER (Jacques) auteur d'un petit livre plus connu des bouquinistes que des gens de goût, plusieurs fois reimprimé sous ce titre : Alphabet de l'imperfection et malice des Femmes, Paris, 1648, in 12. Les biographes ne disent rien de cet auteur, qui paraît doué de beaucoup d'imagination et de gaîté, mais qui écrivait très-mal.

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OLIVIER (Jean d') aj. De la rédaction des lois dans les monarchies, in-8°. 1789.

ORY, (François) né au Mans, où il mourut en 1657. Est auteur de plusieurs ouvrages sur le droit. Ses principaux écrits sont : - Apparatus jurisprudentiæ de pacto dotalibus instrumentis adjecto; Dispunctor ad meritum seu de va• rietatibus Cujaci. Ory rendait

son nom par celui d'Osius.
OURRY, (A. T. M.) a tra-
duit en
vers la Boucle de
Cheveux enlevée poëme
héroï comique en cinq chants
par Pope.

P

PADIOLCAU, (Albert) savant avocat au parlement de Rennes. On a de lui, — l'Antiquité de Jérusalem, 1686, un Traité de la Jurisprudence de la chambre des comptes de Bretagne, 1681, Nantes, in- 4°. Ces deux Ouvrages sont écrits avec goût et méthode, et contiennent des recherches peu communes et des idées singulières.

PAGEAU, (Gui) poëte français du seizième siècle, a pu blié un Livre de Cantiques et de Noëls, in-12. imprimé au Mans, où il vivait encore en 1584.

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OZANAM (Jacques) aj. Montucla a donné en 1778, une nouvelle édition entièrement refondue et très amélioree de ses Récréations mathématiques et physiques.

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PAIGE, (le) - Lettres his toriques sur les fonctions des parlemens, 1753, 2 vol. in-12.

PAILLET, aj.- Le naufrage et la mort du comte de Boulainvilliers, nouv. histor. 1798, in-18.

PAJOT DES CHARMES, ancien inspecteur des manufactures, membre du Lycée des arts, de la Société des inventions et découvertes, et de la Société philomatique de Paris.

L'Art du blanchiment des Toiles, fils et cotons de tout PAGÈS, aj. Un nouveau genre, rendu plus facile et Cours de littérature ancienne plus général, au moyen des et moderne, européenne et nouvelles découvertes, avec la orientale, 3 vol. in-8°.-L'His- méthode de colorer et de ratoire du consulat de Bonamener à un état de blancheur parte, ou Annales de France parfait toutes les toiles peintes depuis l'etablissement du con- ou imprimées; suivi des prosulat', I vol in-8°. Et un cédés les plus sûrs pour blanRoman intitulé: Journées chir les soies et les laines, et et Veillées maritimes ου des découvertes faites par Confidences de Voyageurs sur l'auteur dans l'art de blanchir la mer, 2 vol. in-12. Čes deux les papiers, 1798, in-8°. derniers ouvrages sont sous PAIN. (P.H.A. ) Le Mécanisme des mots de la presse.

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PAGÈS, (S.) de Carcas- langue française, ou Mé

PAL thode nouvelle pour apprèn-paru que l'auteur s'est surtout dre à parler, à lire et à écrire servi de ce cadre pour précette langue en peu de temps,senter les portraits des écriin-8°.

PAIN, (Joseph) né à Paris le 5 août 1773, a donné avec succès, au théâtre du Vaudeville, ( en société avec Bouilly) Teniers, joué le 23 fructidor an 8. Florian, joué le 27 nivôse an 9.- Berquin, joué le 16 frimaire an 10.) Allez voir Dominiqué, joué le 7 vendémiaire an

10.

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vains avec lesquels il a eu des querelles littéraires. Plusieurs dont on nous a lu les articles n'y sont pas ménagés. Mais il faut aussi convenir que la plupart n'ont pas ménagé l'auleur de la Dunciade dans leurs critiques. Ce dernier, par droit de représailles, les les fait comparaître devant son tribunal et les juge rigou

Le Méléagre Cham-reusement. Laharpe est de ce penois, ou la Chasse inter- nombre. La manière dont il a rompue, joué le 5 messidor parlé de Palissot dans sa coran io. Le Procès, ou la respondance avec le grand duc Bibliothèque de Patru, joué de Russie, n'est pas à nos le 24 fruc. an 10. Au théâtre yeux un motif suffisant pour de Montansier,l'Appartement justifier ces sortes de repréà louer, joué le 11 ventôse an sailles ; mais beaucoup de perLa Marchande de plai-sonnes la regarderont comme sirs, le 22 nivôse an 8. Aux une excuse légitime de ces Troubadours, le Connaisseur, combats littéraires qui n'hojoué le 11 brumaire an 8. Ces norent ni l'agresseur ni celui pièces ont été imprimées. qui cherche à se venger. Quoi PALISSOT, (Charles) aj.- qu'il en soit, on assure que Ce littérateur célèbre s'oc- Palissot a dédaigné de parler cupe dans ce moment d'une de quelques Journalistes qui nouvelle édition de ses Me-l'ont attaqué et poursuivi moires, pour servir à l'his- avec acharnement; et l'ou toire de notre littérature de-dit même qu'il répond, à puis François Ier. jusqu'à nos ceux qui lui marquent leur jours. Elle sera composée de étonnement de sa modéra·3 vol. in-8°. Dans ce moment tion et de son silence à leur les deux premiers volumes égard, que ses Mémoires lit'sont imprimés, et nous pou-téraires ne sont pas une ménavons annoncer, par la con- gerie. La nouvelle édition que naissance que nous avons de nous annonçons se trouvera plusieurs articles d'hommes chez Gerard, libraire, et elle de lettres marquans, que sera certainement en vente cette, édition est considéra- lorsque notre volume paraî blement augmentée. Il nous a tra. Quant à celle des Œuvres

complètes de Corneille, avec les Commentaires de Voltaire et des Remarques de Palissot sur ces Commentaires, que nous avions indiquée comme étant sous presse, elle a paru depuis et elle est sortie des presses de Didot

l'aîné.

PAMARD, (Pierre-FrançoisBenezet) naquit à Avignon le 7 avril 1728. Son père, chirurgien estimable, le des

toujours beaucoup de goût. Il revint à Avignon bien disposé à imiter les grauds hommes dont les conseils et l'exemple lui avaient été si utiles. Sa réputation l'y avait précédé. Des occasions de prouver ses talens ne tarderent pas à se présenter. Des succès multipliés justifièrent l'opinion qu'on en avait conçue. Une place de chirurgienmajor a l'hôpital général vint tina dès le berceau à lui suc- à vaquer, la voix publique céder et à soutenir ainsi la l'y appela: l'administration la réputation de ses ancêtres, lui offrit, il l'accepta. Utile à qui depuis plus d'un siècle l'art, utile à l'humanité, if exerçaient la chirurgie avec méritait des distinctions hodistinction dans cette ville. norables. En 1772, la Société Les premières années de sa royale des sciences de Montvie furent soigneusement cul- pellier lui envoya des lettres tivées. L'éducation perfec- d'associé correspondant, Celle tionna les dons de la nature. de Dijon voulut le compter Vivacité, ardeur de tout sa-parmi ses membres. En 1776, voir, promptitude à tout sai- il fut appelé par le vœu de sir, à tout comprendre, faci- ses concitoyens à remplir une lité à exprimer ce qu'il avait place de second consul de la conçu, telles furent les qua-ville d'Avignon, et la ci-delites qui annoncèrent le rang vant Académie royale de que le jeune élève occuperait chirurgie mit son nom sur la un jour parmi les maîtres de liste de ses associés en 1784. l'art. Placé de bonne heure à Un génie heureux, des talens l'hôpital d'Avignon, envoyé distingués dans son art, l'uensuite à Moutpellier, à Pa- sage qu'il en sut faire, des ris, partout il se livra à son connaissances variées une penchant pour l'étude. Il ne sensibilité touchante, un arnégligea aucun moyen de s'ins- dent amour pour la verite truire. Les sciences, qui n'ont des qualités aimables, furent que des rapports eloignés les titres sur lesquels Pamard avec l'art de guérir, fixerent fondą sa réputation et la celésouvent son attention et par- | brité dont il jouit. Pour faire tagèrent ses momens; il sut aux hommes tout le bien qu'il encore en donner aux belles- leur souhaitait, il lui manlettres pour lesquelles il eut qua du loisir et une plus lon

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