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BRUNCK, (Richard Phi- | plarium fidem recensuit, verlippe-Frédéric) né en 1729, sione et notis illustravit, de

ancien commissaire-ordonna- perditorum fragmenta collegit,

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Publit

Argentorati 1786, 2 vol. in-
4°., 4 vol. in-8°.
Virgilii Maronis opera, grande
et belle édition, Strasbourg,
1789, in-4°.

BUACHE, de l'Institut, aj.
Géographie élém. anc, et mod
élém.anc.et
1772, 2 vol. in-12.

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teur des guerres, membre associé de l'Acad. des inscript. et belles-lettres, et depuis de l'Institut. nat. connu par ses travaux dans la lit. grecque et par les belles édit. qu'il publia à grands frais. On a de lui Analecta veterum poetatarum græcorum en 4 vol. BUс'HOZ, (J.P.) aj.-Main-8°., Strasbourg, 1772, nuel floréal des plantes, in1773, 1776 1785. Ana8°. an 9; Manuel tabacal creontis carmina è manuscriptis et sternutatoire des plantes, codicibus et doctorum virorum in-8°. an 9; Traité de la conjecturis emendata, 3 édi- cult. des arbres et arbustes tions successives, Strasbourg, qui peuvent passer l'hiver en 1778, 1786. Aeschyli, tra- plein air, 3 vol. in-12. gadia, Prometheus, Persae et Nouvelle Médecine domest. Septem ad Thebas; Sophoclis tirée principal. des végét. de Antigone; Euripidis Medea; la France, 2 vol. in-12, an 9. ex optimis exemplaribus emen- BUAT-NANCAY, (L. G. )aj. dato, Strasbourg, 1779, in-Elémens de la politique, 8o.- Apollonii Rhodii Argo-1773, 6 vol. in-8°; - Remarnautica, è scriptis octo vete-ques d'un franç, sur l'admin. ribus libris. quorum plerique des finances de Necker, 1785, nondum collati fuerunt, nunc primum emendata,edita. Argen- BULLIOD, (Pierre) jésuite torati, 1780. Aristophanis de Lyon.-Il a écrit des Mécomœdiæ, ex-optimis exem- moires litt. en mauvais latin, plaribus emendate, Strasbourg, sur ses plus illustres compa1783, 4 vol. in-4°. et 6 in-8°. triotes; ils sont intitulés: LugGnomici poeta græci ad op-dunum sacro-profanum, seu timorum exemplarium fidem de Claris, illustribusque Lugemendavit, Argentorati, 1784, dunensibus, Forensibus et Bel in-8°. Publii Virgilii Maro-lijocensibus, Lyon, 1647 nis Bucolica, Georgica et Eneis ad optimorum exemplarium fidem recensuit, Argentorati, 1785, grand in-8°. Sophoclis quæ extant omnia, 'cum veterum grammaticorum scholiis, ad optimorum exem

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in-8°.

in-4°.

BRUGNIERES, (J.T.) aj.Quelques idées sur la situat. du commerce en France, in8°. an 9; Discussion polit. sur l'usure et le prêt sur gages, in-12.- Nécessité de la

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égale la difficulté, et ce n'est
point avec des plaisanteries 9
comme quelques journalistes
l'ont fait, qu'on répond à un
ouvrage sérieux, qui a dû
coûter un travail immense à
son auteur; mais en suivant
sa marche et en discutant
à pas ses principes dans le
même ordre qu'il les a déve-
loppés. Outre les ouvrages
que nous avons indiqués dans
notre second volume, le sé-
nateur Cabanis a donné quet-

pas

CABANIS, (P. J. G.) membre du Sénat conservateur, de l'Institut, de l'Ecole et Société de Médecine de Paris, de la Société philosophique de Philadelphie, etc. aj.Lorsque nous avons inséré la notice de quelques-unes des product. du sénat. Cabanis, il n'avait pas encore publié son ouvr. intitulé: Rapports du physique et du moral de l'homme. Cet ouvrage n'a paru qu'en l'an 10, L802, et il est composé de 2 vol.ques essais de traduct. d'Hoin-8°. Ce livre a été l'ob- mère, qui ont été insérés jet des éloges des philoso- dans le poême des Mois de phes et de la critique des Roucher; un Ecrit sur les hommes religieux. On a aussi secours publics en 1788; prétendu que cette produc- un Recueil de traduct. de tion était faible sous le rap- l'allem. en l'an 6;- beauport des connaissances médi- coup de morceaux répandus cales, et que le systême dans les mém. des sociétés qu'elle tendait à établir était savantes et dans les journaux. bien eloigné d'être appuyé sur des preuves satisfaisantes pour les gens de l'art. Quoi qu'il en soit, cet ouvrage fait honneur à la plume de l'auteur; c'est un essai sur dés questions dont l'importance

des Discours sur la politique et la législation, prononcés à la tribune du conseil des cinq cent et des commissions qui furent nommées au 18 brum. depuis cette époque, il a publié les Rap

ral de l'homme, en 2 vol. in-8°.

ports du physique et du mo- | le 1er, établissement d'un jardin de Botanique à Caen. Il est connu par un ouvr. estimé, dont la dern. édit. parut en 1693, in-12. sous ce titre : Lexicon medicum etymologicum. Il en préparait une édit. in-fol. augmentée des trois quarts, lorsque la mort l'enleva.

CACHIN, (J. M. F.) ingénieur en chef des ponts et chaussées, a fait paraître en l'an 7 un Mémoire sur la navigation de l'Orne-inférieure qui a été présenté à l'Institut, et dont il a autorisé l'impression.

CADET DE VAUX, aj.- Instuct, sur l'art de faire le vin, în-12. an 9; Mém. sur la peinture au lait, suivi des observ. de d'Arcet, et terminé par de nouv. observ. d'après des expér. faites par Taillepied, in 8°.

CALLET, aj. mort le 14 nov. 1798. -Supplément à la trigonométrie sphérique et à la navigation, de Bezout.

CALONNE, (Alex. de) excontrôl. gén. des finan. mort à Paris à 66 ans, le 7 brum. an 11, (le 29 oct. 1802. ) Calonne avait fait d'excellentes études dans l'univer. de Paris.

CAHAISSE. (A.) Hist. d'un perroquet, écrite sous sa dic-Il fut le condisciple des écriv. tée, vol. in-12. an 10.

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les plus distingués de la fin du dernier siècle. Ayant été destiné par sa famille à la magistrature, il exerça avec succès les fonctions d'avocat. Nous ne le suivrons pas dans sa carrière judiciaire; nous passerous rapidement à l'époque où après avoir été employé en qualité de maître des requêtes dans la fameuse commission chargée de juger M. de la Chalotais, on lui donna pour récompenser son zèle, une place d'intendant. Dans cette place importante, Calonne fit preuve de talent et quelques années après, il fut nommé contrôleur général des finances. En entrant dans ce ministère, Calonne eut à lutter contre les partisans nombreux de M. Neker

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son prédécesseur. Ce dernier, | le remplaça. Tout le monde qui croyait de bonne foi que sait maintenant apprécier ces personne n'était en état de deux ministres dont l'un le remplacer, et sur-tout de Calonne ) prit le parti de se faire comme lui le bonheur retirer en Angleterre, et de la France, employa tous l'autre se réfugia dans les preles moyens imaginables pour miers instans de la révolution donner des dégoûts à Calonne. en Suisse, sa patrie. Calonne 11 s'éleva une petite guerre en se fixant à Londres et en polémique entre les deux ri- s'y mariant avec une riche vaux et leurs partisans. Si veuve française, parut d'aleurs fautes n'eussent pas bord ne vouloir Jouer d'autre eu des suites aussi funestes rôle que celui d'amateur des qu'elles en ont eu pour la beaux arts; mais lorsque la France, on aurait pu s'amu- révolution éclata, il entra ser de ces ridicules combats dans l'arène, et publia un de l'amour propre et de l'am-grand nombre de brochures bition; on aurait pû juger contre tous les changemens avec indifférence ces deux qui s'opéraient en France. athlètes; mais depuis qu'on Nous avons indiqué la plua fait la triste expérience de part de ces productions de leurs systêmes de finance, et circonstance dans notre second de leurs vaines théories, on volume où se trouve l'arne peut que gémir sur le sort ticle de Calonne. Ce qu'il y des nations qui sont condam-a de certain, c'est que tous nées à attendre leur bonheur les ouvrages de cet ex-minisou leur malheur des bons ou tre annoncent un talent disdes mauvais calculs de quel- tingué. On y trouve la touche ques hommes qui essayent sur d'un écrivain élégant et insles corps politiques leurs pré- truit, et nous ne balançons tendus moyens de guérison, pas à dire que si Calonne se comme les charlatans essayent Tût entièrement livré aux des remèdes nouveaux sur lettres et au commerce des les malades qui ont recours muses, il eût obtenu des sucà eux. Au reste, Calonne cès mérités dans cette caraprès avoir été quelque temps rière brillante et difficile. On contrôleur général, et après assure qu'il laisse des manusavoir provoqué l'assemblée crits précieux. Sa mort inatdes notables, qui ne produi- tendue, dans un âge où il sit d'autre effet que celui de pouvait encore travailler, est découvrir entièrement la proune perte pour les progrès fondeur de l'abîme qui mede la science économique. Il naçait d'engloutir la France, eût pu rectifier ses erreurs, fut renvoyé, et M. Neker et donner sur tout des con

le prix à l'acad. d'agriculture d'Auch, ainsi qu'un autre sur la destruction de la folle avoine, si nuisible aux récoltes dans les départemens méridionaux. Il a fait souvent insérer dans les jour

naissances utiles sur l'administration des finances de l'Angleterre, qu'il avait été à portée d'apprécier,-Ajoutez aux productions que nous avons déjà citées, les suivantes qui ont paru depuis, Des finances publiques de lanaux des morceaux de littéraFrance in -8°., Londres ture en prose et en vers. La I797. -Lettre à l'auteur des plupart de ses ouvrages maConsiderations sur l'état des nuscrits ont été pillés ou brûaffaires publiques au com- lés pendant le règne de la mencement de l'année 1798, terreur, lorsqu'il fut arrêté in-8°., Londres, 1798. comme suspect, et mis dans les prisons d'Andely. On doit sur-tout regreter la perte de ses observations et de ses expériences sur la circulation, ou le flux et reflux de la sève dans les arbres, sur sa décomposition et son mêlange avec l'air et avec un grand nombre d'animaux microscopiques quicirculent avec elle, Il avait fait pendant plus de dix ans consécutifs des recherches et des expériences très-curieuses sur l'influence de la lumière et des ténèbres dans la végétation des plantes et arbustes. Elles semblaient prouver que le soleil agit sur les végétaux, non seulement comme principe, ou cause de la chaleur, mais même comme corps lumineux.

CALVEL, (Etienne) aj. Cidevant professeur au collège de Toulouse membre de l'acad. des jeux floraux et du musée de cette ville, de celle des sciences, inscriptions et belles-lettres de Châlons-surMarne, et de plusieurs autres soc. lit. ou d'agricul. Belise, ou les Deux Cousines, 2 yol. Les Deux Amis, ou le comte de Meralbi 4 vol.

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L'Encyclopédie lit., ou Dictionnaire raisonné d'éloquence et de poésie, 3 vol, in-8°. Un discours à l'occasion du prix de Vertu, que l'administration de l'hôpital général de Toulouse fesait distribuer tous les ans aux pauvres les plus industrieux et les plus sages. Des arbres fruitiers Pyrami- CAMBACERES. aj. Ancien daux, vulgairement appelés archidiacre de l'église de Quenouilles, avec la manière Montpellier, mort au mois de les élever et d'en faire un d'octobre, 1802. L'abbé objet d'utilité et de décora- de Cambacérès, fils d'un tion. Un mémoire non im- conseiller de l'ancienne cour primé sur le papillon qui dé-des comptes, aides et finances vore le blé, qui a remporté du Languedoc, était né en

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