Œuvres Mélanges de poésie et de littérature

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Populaire passages

Pagina 50 - Cette absence, 5 ma qualité de militaire et d'attaché à un cidevant prince , les soupçons qu'inspire naturellement l'état où nous sommes , les circonstances du moment, tout enfin, réuni contre moi dans ces tristes circonstances , a fait naître de la fermentation et de la défiance dans une petite partie de ma troupe. Vous devez juger qu'avec ma sensibilité, cette position fait le malheur de ma vie, puisque je vois mon honneur et mon repos au moins compromis. Dans les temps où nous sommes,...
Pagina 55 - Je passe doucement ma vie au coin de mon feu, lisant Voltaire et fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses où tout le monde hait la raison, où les vertus ne sont même plus louées, où l'humanité, la première des vertus, et la modération, la première des qualités, sont méprisées par tous les partis. Je me trouve fort bien de ma solitude, et, si j'y recevais souvent de vos nouvelles, je l'aimerais encore plus.
Pagina 19 - J'admirai leur azur, je regardai la terre , Je crus me ressaisir de la nature entière. Ah ! sortant de la tombe où l'on fut endormi , Qu'il est doux de revoir le ciel et son ami ! Ce sont ses adieux à son ami prêt à partir pour Nice.
Pagina 94 - ... Se já nas brutas feras, cuja mente Natura fez cruel de nascimento, E nas aves agrestes, que somente Nas rapinas aéreas têm o intento, Com pequenas crianças viu a gente Terem tão piedoso sentimento, Como co'a mãe de Nino já mostraram...
Pagina 101 - Ye roofs, where cold damps and dismay With silence and solitude dwell ; How comfortless passes the day, How sad tolls the evening bell ! The owls from the battlements cry, Hollow winds seem to murmur around, " O Mary, prepare thee to die ! " My blood it runs cold at the sound.
Pagina 103 - Ils chantent leurs amours paisibles, Et moi, je pleure dans les fers. Quel que soit le sort qui m'accable, Mon cœur saura le soutenir ; Infortunée et non coupable, Je prends pour juge l'avenir, Perfide et barbare ennemie, On détestera tes fureurs, Et sur la tombe de Marie La pitié versera des pleurs.
Pagina 94 - Se já nas brutas feras, cuja mente Natura fez cruel de nascimento, E nas aves agrestes, que somente Nas rapinas aerias tem o intento, Com pequenas crianças vio a gente Terem tão piedoso sentimento, Como co'a mãi de Nino já mostraram, E co'os irmãos, que Roma edificaram : cxxvii.
Pagina 50 - Os court bien loin pour chercher le bonheur ; A sa poursuite en vain l'on se tourmente : C'est près de nous, dans notre propre cœur, Que le plaça la nature prudente.
Pagina 62 - ... plaisirs est la reconnaissance, et c'est vous qui me prouvez cette sentimentale vérité. En sortant de prison j'ai couru chez vous. La loi me défendait de vous attendre, il fallait la loi pour m'empêcher de jouir de ce bonheur. Accordez-le-moi, mon ami, en venant promptement me voir. Venez dîner dans ma retraite , venez me voir reprendre mon luth , couvert déjà de poussière , et sur lequel je vais chanter d'une voix plus forte la liberté et l'amitié. Adieu, mon bienfaiteur; venez aussitôt...
Pagina 92 - Tirar Inês * ao mundo determina, Por lhe tirar o filho que tem preso, Crendo co'o sangue só da morte indina Matar do firme amor o fogo aceso.

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