C'est mon oncle qui l'oblige d'être sans cesse ici pour nous épier : je suis bien aise de vous en avertir, afin que vous évitiez de le rencontrer. Ces petits soins ne partent pas d une âme tout-à-fait indifférente. Les oeuvres de monsieur Baron - Pagina 22door Baron (Monsieur, Michel) - 1704 - 450 pagina’sVolledige weergave - Over dit boek
| Baron (Monsieur, Michel) - 1784 - 492 pagina’s
...oncle qui l'oblige d'être fans cefle ici pour nous épier : je fuis bienaife de vous en avertir , afin que vous évitiez de le rencontrer. Ces petits...vous en dis trop. Je ne vous aime point au moins; mais je ne veux pas que vous croyiez que j'en aime quelqu'autre. M. DUR С E T. Ah! Madame, fouffrez... | |
| 1784 - 420 pagina’s
...oncle qui l'oblige d'être fans ce/Те ici pour nous épier : je fuis bien-aife de vous en avertir, afin que vous évitiez de le rencontrer. Ces petits foins ne partent pas d'une ame tout-à-fait indiiférente. Ah ! ne me croyez pas , je vous en dis trop. Je ne vous aime point... | |
| 1686 - 540 pagina’s
...de vous en avertir , afin que vous évitiez de le rencontrer. Ces petits soins ne partent pas d'un/' âme tout-à-fait indifférente. Ah! ne me croyez...vous en dis trop. Je ne vous aime point au moins; mais je ne veux pas que vous croviez que j'en aime quelque autre. M. DURCET. Ah ! madame , souffrez... | |
| 1810 - 294 pagina’s
...rencontrer. Ces petits soins ne partent pas d'une âme tout-à-fait indifférente. Ah! ne me crovez pas, je vous en dis trop. Je ne vous aime point au moins; mais je ne veux pas que vous croyiez que j'en aime quelque autre. M. DUHCET. Ah! madame, souffrez,... | |
| David-Augustin de Brueys - 1821 - 288 pagina’s
...de le rencontrer. Ces petits soins ne partent pas d'une âme tout-à-fait indifférente. Ah! ne ma croyez pas , je vous, en dis trop. Je ne vous aime point au moins; mais je ne veux pas que vous croyiez que j'en aime quelque autre. M. DURCET. Ah! madame, souffrez,... | |
| 1823 - 808 pagina’s
...avertit., afin que vous évitiez de le rencontrer. Ces petits soins ne partent pas d'une ame tant-à-fait indifférente. Ah! ne me croyez pas , je vous en dis trop. Je ne vous aime point au moins; mais je ne veux pas que vous croyiez que j'en aime quelque autre. M. DUKCET. Ah, madame, souffrez,... | |
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