| Abbe Fer̕aud, Jean-François Féraud - 1787 - 782 pagina’s
...futile, une troupe vile et méprisée. : Rousseau. de Genève , a dit aussi futile des persones. » Ces vains et futiles déclamateurs vont de tous côtés..., armés de leurs funestes paradoxes , sapant les fondemc4S de la Foi , et anéantissant la vertu. Disc, sur les Sciences. » Cette éloquence frivole... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 696 pagina’s
...foule d'écrivains obscurs et de lettrés oisifs qui dévorent en pure perte la substance de l'état. Que dis-je , oisifs ? et plût à Dieu qu'ils le fussent...seraient plus saines et la société plus paisible. Mais ce; vains et futiles déclamateurs vontxle tous côtés, armés de leurs funestes paradoxes , sapant... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 468 pagina’s
...foule d'écrivains obscurs et de lettrés oisifs qui dévorent en pure perte la substance de l'état. Que dis-je , oisifs? et plût à Dieu qu'ils le fussent en effet ! Les mœurs en seroient plus saines et la société plus paisible. Mais ces vains et futiles déclamateurs vont de... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 468 pagina’s
...foule d'écrivaias obscurs et de lettrés oisifs qui dévorent en pure perte la substance de l'état. Que dis-je, oisifs? et plût à Dieu qu'ils le fussent en effet ! Les mœurs en seroient plus saines et la société plus paisible. Mais ces vains et futiles déclamateurs vont de... | |
| Stéphanie Félicité de Genlis, Stéphanie-Félicité Du Crest Genlis - 1818 - 410 pagina’s
...d'écrivains obscurs et de lettrés oisifs » qui dévorent en pure perte la substance de » l'état? Que dis-je, oisifs ! Et plût à Dieu qu'ils » le fussent en effet! Les mœurs en seroient » plus saines et la société plus paisible ; mais n ces vains et futiles déclamateurs vont... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1818 - 432 pagina’s
...d'écrivains obscurs et de lettrés oisifs » qui dévorent en pure perte la substance de M l'état? Que dis-je, oisifs! Et plût à Dieu qu'ils » le fussent en effet! Les mœurs en seroient » plus saines et la société plus paisible ; mais » ces vains et futiles déclamateurs... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 368 pagina’s
...de letlrés oisifs qui dévorent en pure perte la substance de l'état. Que dis-je, oisifs? et plat à Dieu qu'ils le fussent en effet ! Les mœurs en...côtés, armés de leurs funestes paradoxes, sapant les fondemens de la foi , et anéantissant la vertu. Ils sourient dédaigneusement à ces vieux mots de... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 470 pagina’s
...foule d'écrivains obscurs et de lettrés oisifs qui dévorent en pure perte la substance de l'état. Que dis-je , oisifs ? et plût à Dieu qu'ils le fussent en effet ! Les mœurs en seroient plus saines et la société plus paisible. Mais ces vains et futiles déclamateurs vont de... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1822 - 564 pagina’s
...l'Etat? Que dis-je, oisifs! et plût à » Dieu qu'ils le fussent en effet ! les mœurs en seroient plus » saines et la société plus paisible; mais...armés de leurs funestes » paradoxes, sapant les fondemens de la foi et anéantissant » la vertu ; ils sourient dédaigneusement à ces vieux mots... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1822 - 566 pagina’s
...d'écrivains obscurs et de lettrés oisifs, qui dévorent en pure » perte la substance de l'Etat ? Que dis-je , oisifs ! et plût à » Dieu qu'ils le fussent en effet ! les mœurs en seroient plus » saines et la société plus paisible; mais ces vains et futiles » déclamateurs vont... | |
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