L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 5-61774 |
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L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 7-8 Volledige weergave - 1787 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 6 Volledige weergave - 1768 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 3-4 Volledige weergave - 1786 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
affez affure ainfi auffi auroit avoient avoit Boindin c'eft c'eſt Café Camerlingue Cardinaux caufe cens chofe claffe compofée Conclave Confeil confervé confidérable connoiffance connoître déja différens efprit enfans enfuite eſt étoient étoit fagacité faifi fans fçait fçavez fçavoir fcène fe trouve feconde fecours femble femme fens fentiment feroit fervice fervir feul fiècle fieur fimple foient foin foit font fous fouvent François ftyle fuccès fuis fuite fuivant fujet fur-tout gens Glannières goût grace homme intéreffant jufqu'à jufte l'Abbé L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'auteur l'efprit l'Hiftoire laiffer lefquels Lettre livres Loix lorfque Maifon ment Monfieur n'eft n'eſt n'étoit néceffaire Néron obfervations ouvrage paffer paffion paroît penfer perfonnes Philofophe phrafe Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëte pofer poffible pouvoit préfente prefque Prince propofe puiffe refte rien Rome Rouffeau rue des Mathurins rue Saint s'eft Salisbury Saurin teffe Temples teur tion traits ufage Voltaire volumes
Populaire passages
Pagina 258 - Un rien eft de grande importance; Un rien produit de grands effets. En amour, en guerre, en procès, Un rien fait pencher la balance. Un rien nous pouffe auprès des grands ; Un rien nous fait aimer des belles.
Pagina 13 - Ici, sur un pivot vers le nord entraîné, L'aimant cherche à mes yeux son point déterminé: Là de l'antique Hermès le minéral fluide S'élève au gré de l'air plus sec ou plus humide : Ici par la liqueur un tube coloré De la température indique le degré: Là, du haut de tes toits...
Pagina 9 - Les oiseaux, que partout environne l'orage, Voltigent, incertains, de feuillage en feuillage; Et le pâtre éperdu, rassemblant son troupeau, A travers les guérets regagne le hameau. Moi-même qui me trouble en voyant la tempête Comme un vautour affreux s'élancer sur ma tête...
Pagina 14 - Denainvilliers , jouis long-temps encore Du nom de bienfaiteur, de ce nom qui t'honore ! Dans Paris, où l'orgueil de nos vains préjugés Donne aux grands des flatteurs et de vils protégés...
Pagina 9 - Mais un vaste intervalle en absorbe le bruit. La tempête, semblable aux ombres de la nuit, Dans le calme imposant du plus profond silence, Monte, se développe, et lentement s'avance. La nature frémit dans un muet effroi : L'air immobile et lourd s'appesantit sur moi.
Pagina 258 - D'un rien de plus, d'un rien de moins, Dépend le succès de nos soins : Un rien flatte quand on espère. Un rien trouble lorsque l'on craint. Amour, ton feu ne dure guère, Un rien l'allume, un rien l'éteint.
Pagina 93 - J'aime mieux vivre en paix avec moimême , Et n'avoir pour tout bien que deux feules brebis ; Encore aux. Immortels irois-je en offrir une , Pour les remercier de mon humble fortune. LE VOYAGEUR. Éloignons-nous, Berger. Ce* objets odieux Ont A ff tr É £ 1774.
Pagina 211 - Poète qui veut abandonner les Mufes , à un Ami qui lui écrit pour l'en détourner . Pièce qui a concouru pour le prix de l'Académie Françoife , in-%.
Pagina 77 - ... portaient aussi des bottines , ayant à chaque talon une petite cheville de bois qui leur sert d'éperon.
Pagina 12 - On dirait que les cieux s'écroulent sur la terre. Par l'orage effrayé , j'en admire l'horreur : Le philosophe observe , et l'homme seul a peur. J'arrive : un important, couvert de ta livrée , Ne me fait point chez toi solliciter l'entrée ; De ta porte à son aise on peut franchir le seuil. Cerbère caressant et de facile accueil , Ton chien , sans m'obliger d'attendre une réponse , Court au-devant de moi , bondit , jappe et m'annonce.