Marlière fit faire pour eux plusieurs plantations. C'étaient les soldats des divisions militaires qu'il employait à ce travail , et souvent il avait le plaisir de voir ces derniers serrer dans leurs bras les sauvages, que naguère ils exterminaient... Nouvelles annales des voyages - Page 901834Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Auguste de Saint-Hilaire - 1833 - 472 pages
...les hommes de notre race. Afin de s'attacher de plus en plus les Botocudos, Marlière fit faire pour eux plusieurs plantations. C'étaient les soldats...avait le plaisir de voir ces derniers serrer dans leur bras les sauvages que naguère ils exterminaient comme des bêtes féroces. Un des premiers soins... | |
| Auguste de Saint-Hilaire - 1833 - 468 pages
...les hommes de notre race. Afin de s'attacher de plus en plus les Botocudos, Marlière fit faire pour eux plusieurs plantations. C'étaient les soldats...qu'il employait à ce travail , et souvent il avait le plaiair de voir ces derniers serrer dans leur bras les sauvages que naguère ils exterminaient comme... | |
| 1837 - 642 pages
...de plus en plus les Botocoudos , Marlière fit faire pour eux plusieurs plantations. C'étaient fes soldats des divisions militaires qu'il employait à...serrer dans leurs bras les sauvages, que naguère ils exterminaient comme des bêtes féroces. Un des premiers soins de Marlière fui d'établir une discipline... | |
| 1837 - 640 pages
...faire pour eux plusieurs plantations. C'étaient les soldats des divisions milildiivi qu'il employai! à ce travail , et souvent il avait le plaisir de...serrer dans leurs bras les sauvages, que naguère il» exterminaient comme des bêtes féroces. Un des premiers soins de Marüére ful d'établir une... | |
| Ferdinand Denis - 1837 - 626 pages
...plus les Botocoudos , Marlière fit faire pour eux plusieurs plantations. Celaient les soldats del divisions militaires qu'il employait à ce travail , et souvent il avait le plaisir du voir ces derniers serrer dans leurs bras les sauvages, que naguère ils exterminaient comme des... | |
| Ferdinand-Jean Denis - 1839 - 640 pages
...de tous les obstacles Afin de s'attacher de plus en plus les Botocoudus , Marlière fit faire pour eux plusieurs plantations. C'étaient les soldats...serrer dans leurs bras les sauvages, que naguère ils exterminaient comme des bêtes féroces. Un des premiers soins de Marlière fui d'établir une discipline... | |
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