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avant Tycho-Brahé, a, le premier, déterminé la variation, ou la troisième inégalité lunaire, curieuse découverte dont s'étaient glorifiés les astronomes du xvII° siècle. Maintenant qu'il est reconnu que ce peuple ingénieux a droit au titre d'inventeur, il reste à l'étudier sous ce nouveau caractère, à examiner d'une manière approfondie quels sont les progrès qu'il a fait faire aux connaissances astronomiques. Cette question, à laquelle M. Sédillot a déjà fait faire un grand pas, ne peut être complétement résolue que par les travaux ultérieurs des orientalistes, par la traduction de manuscrits arabes que l'on ne connaît encore que de nom. En attendant, l'auteur a pensé qu'il serait utile de rechercher d'une manière spéciale quels sont les perfectionnements introduits par les Arabes dans les instruments d'astronomie qu'ils avaient reçus des Grecs, et dont ils augmentèrent beaucoup le nombre. Tel est l'objet de ce mémoire, qui occupe toute la première moitié du volume. Cet important travail, que nous regrettons de ne pas pouvoir faire connaître avec plus de détail, est accompagné de traductions de nombreux passages d'auteurs arabes, et suivi d'un index des mots techniques et des noms arabes des étoiles. Viennent ensuite deux mémoires sur l'appréciation de la fortune privée au moyen âge, relativement aux variations des valeurs monétaires et du pouvoir commercial de l'argent, par M. C. Leber, ouvrage plein de recherches savantes et d'aperçus nouveaux, qui mérite un examen particulier. Le morceau suivant est un mémoire de M. André Papadopoulovretos, sur le pilima (Anua), ou espèce de feutre dont les anciens se servaient pour la confection de leurs armes défensives, retrouvé et proposé pour l'usage des armées modernes. Le volume est terminé par une notice de M. Dessalles, intitulée le Trésor des chartes, sa création, ses gardes et leurs travaux, depuis l'origine jusqu'en 1582. La position qu'occupe M. Dessales aux archives du royaume le mettait à portée de traiter avec autorité un sujet si intéressant pour tous ceux qui étudient l'histoire à ses véritables sources. Ses patientes recherches font connaître la constitution du Trésor des chartes, les noms et les travaux des officiers auxquels fut confiée la garde-de ce précieux dépôt pendant la première période de son existence. Cette période commence peu après l'an 1194, c'est-à-dire à l'époque où Gauthier de Nemours et Garimont ou Guérin, évêque de Senlis, furent chargés de recueillir et de conserver les chartes et instruments publics pour réparer la perte faite par Philippe-Auguste au combat de Bellefoge, et se termine au mois de janvier 1582, date de la démission de Jean-Jacques de Mesmes, vingt-quatrième garde en titre du Trésor des chartes, en faveur du procureur général Jean de la Guesle. Cette notice, qui complète et rectifie, sur plusieurs points, les travaux de Dupuy et de Bonami, n'est que l'introduction d'un mémoire où sera traitée avec de grands développements l'histoire du Trésor des chartes, de ses accroissements et de ses vicissitudes. Un autre mémoire aura pour objet l'histoire des archives du royaume, depuis l'époque où elles furent confiées aux soins des procureurs généraux, jusqu'à nos jours.

Glossarium media et infimæ latinitatis, conditum a Carolo Dufresne, domino Du Cange, cum supplementis integris monachorum ordinis S. Benedicti, D. P. Carpenterii, Adelungii, aliorum, suisque, digessit G. A. L. Henschel. Paris, imprimerie et librairie de Firmin Didot frères, 1840-1844, in-4°. Tomes I-IV.- En attendant qu'un des auteurs de ce journal fasse un examen approfondi de la nouvelle édition du Glossaire de Du Gange, nous croyons devoir la recommander, en peu de mots, à l'attention des philologues et des érudits, pour lesquels un tel ouvrage est un instrument de travail indispensable. Cette édition réunit l'ouvrage de Du Cange, les additions des bénédictins et le supplément de Carpentier, avec des cor

rections et des mots nouveaux, puisés, soit dans les manuscrits, soit dans les grandes collections publiées depuis soixante ans. Les progrès de la critique, en ce qui concerne les origines des langues latine et germanique, ont nécessité la révision d'un grand nombre d'étymologies; les articles relatifs aux antiquités ont été enrichis de textes nouveaux; mais tout ce travail supplémentaire, propre à l'éditeur, est marqué d'un signe particulier qui ne permet pas de le confondre avec l'œuvre de ses devanciers; de telle sorte que l'œuvre de Du Cange, celle des bénédictins et celle de Carpentier, se trouvent reproduites sans altération. Le texte primitif du Glossaire est, d'ailleurs, conforme à l'édition de 1678, faite sous les de Du Cange, et bien plus correcte que celle des bénédictins. La dernière livraison publiée est la 3o du tome IV, contenant les mots MESSUM-MOTA. On y trouve, comme dans les précédentes, des additions notables, particulièrement à l'article moneta. Un autre avantage qui distingue encore cette édition, et qu'il ne faut pas oublier de signaler, c'est celui du bou marché. L'ouvrage, imprimé sur trois colonnes, comprendra, en 8 vol. in-4°, la matière de 10 vol. in-folio, et coùtera 256 francs. Il est publié en 32 livraisons du prix de 8 francs chacune, parais

sant de trois en trois mois.

yeux

Bibliothèque de l'école des chartes. Tome V, sixième livraison (juillet-août 1844). Paris, imprimerie de Didot, librairie de Dumoulin, in-8° (pages 521-636).-Cette livraison, qui est la dernière du tome V, contient les morceaux suivants : I. De l'apparition et de la dispersion des Bohémiens en Europe (2° article), par M. Paul Bataillard. Les recherches et les faits curieux abondent dans ce travail, qui manque d'ailleurs de conclusion, et ne résout pas encore les questions que l'auteur avait posées dans son premier article. II. Inscription trouvée à Metz en 1522. L'inscription dont il s'agit ici a été publiée par les bénédictins dans leur Histoire de Metz (in-4°, tome I, p. 121); mais le récit des circonstances singulières qui en accompagnèrent la découverte était demeuré inédit. Il est extrait de la Chronique de Metz de Philippe de Vigneulles, en 3 volumes in-folio, dont le manuscrit original est entre les mains de M. Michelant, ancien greffier au tribunal de Metz. III. Procèsverbal des délibérations tenues à l'hôtel de ville de Paris pendant la captivité de François I“, publié par M. Leroux de Lincy. Ce document important, dont aucun des historiens de Paris n'a pu faire usage, est tiré d'un fragment de registre provenant de l'hôtel de ville de Paris. Il est aujourd'hui conservé aux archives du royaume dans un carton du Trésor des chartes, coté J, 666, n° 2. C'est un compte rendu très-circonstancié de tous les discours tenus et de toutes les délibérations prises dans les assemblées de l'hôtel de ville, sous la présidence de Jean Morin, prévôt des marchands, depuis le 7 mars 1525, époque où la nouvelle de la bataille de Pavie parvint à Paris, jusqu'au 10 février 1526. Cette pièce mérite, sous plus d'un rapport, d'être étudiée. Elle contient des détails de mœurs fort curieux, et fait ressortir l'activité et la courageuse énergie que déploya dans cette grande crise le corps municipal de Paris. Le tome V, que cette livraison vient de compléter, est le dernier de la première série de la bibliothèque de l'école des chartes. Elle est terminée par une table méthodique des articles de fond, mémoires et documents compris dans les cinq volumes. La société de l'école des chartes commencera, à partir du 1 novembre prochain, une seconde série de cinq volumes, qui ne tiendra à la précédente par aucun lien nécessaire, et qui permettra ainsi aux nouveaux souscripteurs d'acquérir un ouvrage complet. Après l'achèvement de la seconde série, il sera dressé une table analytique des matières contenues dans les dix volumes. Cette table, composée sur le modèle de celles des Mémoires de l'Académie des

inscriptions, formera un volume à part. IV. Histoire de la publication des livres de Pierre Du Puy sur les libertés de l'Eglise gallicane, par M. G. Demante.-En exposant les circonstances remarquables de la publication du traité des libertés de l'Eglise gallicane par Du Puy et des preuves de ce traité, l'auteur s'est attaché à rechercher la pensée de ce livre fameux, et il a fait un tableau intéressant de la lutte qui éclata, à son apparition, entre le clergé et le parlement.

Iconographie du règne animal, de G. Cuvier, ou représentation d'après nature de l'une des espèces les plus remarquables, et souvent nou encore figurée, de chaque genre d'animaux, avec un texte descriptif mis au courant de la science; ouvrage pouvant servir d'atlas à tous les traités de zoologie; par F. E. Guérin Méneville, professeur d'histoire naturelle, etc. Livraisons 46 à 50. Paris, imprimerie de Fain, librairie de J. B. Baillière; Londres, librairie de H. Baillière; 1844, 2 vol. grand in-8°. Prix: 30 francs. Les mêmes livraisons, format grand in-4°, 40 francs. Ces cinq livraisons terminent la publication de l'iconographie du règne animal. Les 450 planches gravées que comprend l'ouvrage ont paru en 145 livraisons.

Mémoire autographe de M. de Burentin, chancelier et garde des sceaux, sur les derniers conseils du roi Louis XVI, publié d'après le manuscrit original de la Bibliothèque royale, entièrement inédit, avec des notes et pièces justificatives, et précédé d'une notice biographique sur M. Barentin, par M. Maurice Champion. Paris, imprimerie de Gratiot. Se trouve au comptoir des imprimeurs unis. In-8° de 332 pages.

Manuel du libraire et de l'amateur de livres, contenant, etc., par Jacques-Charles Brunet. Quatrième édition originale. Tome V, 2° partie. Paris, imprimerie de Maulde, librairie de Silvestre, 1844, in-8°. Pages 417 à 846.-Ce demi-volume, qui comprend la suite et la fin du catalogue raisonné, du n° 20,230 au no 31,872, avec une table d'auteurs, termine le tome V et dernier de l'ouvrage; mais il reste à paraître la seconde partie du tome IV, à laquelle on joindra la préface générale. Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest. Année 1843. Poitiers, imprimerie de Saurin, librairies de Pradet et d'Oudin, in-8° de 522 pages, avec planches. (Se trouve à Paris chez Derache.)—On trouve dans ce volume, après un catalogue du musée des antiquités de l'Ouest, le procès-verbal de la séance publique tenue par la Société le 17 décembre 1843, un mémoire de M. le baron Bourgnon de Layre sur l'Amphithéâtre ou les Arènes de Poitiers; un essai sur les lanternes des morts (fanaux élevés dans quelques cimetières du moyen âge), par M. A. de Chasteigner; les statuts et usages de l'ancienne abbaye de Montierneuf de Poitiers, publiés par M. Redet; un mémoire sur la bataille de Moncontour, par M. Allonneau; deux opuscules numis matiques, l'un de M. B. Fillon, sur quelques tiers de sou d'or qu'il attribue au Poitou; l'autre, de M. A. de Chasteigner, intitulé: Recherches sur un tiers de sou d'or inédit, de Melle, frappé au type visigoth. Le volume est terminé par le compte rendu des séances du congrès archéologique tenu à Poitiers en mai et juin 1843.

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Mémoires de la société Eduenne, 1844, Autun, imprimerie de Dejussieu, in-8° de 338 pages, avec 26 planches. Ce volume contient 1° la numismatique des Eduens, par feu M. L. de Monard, avec un supplément de M. G. Charleuf, contenant les légendes des médailles découvertes à Autun depuis la mort de M. de Monard, et qui ont été décrites dans l'ouvrage de M. Lelewel et dans la Revue numismatique; 2° une note succincte de M. Laureau de Thory sur deux tableaux enlevés à la ville d'Autun par ordre du gouvernement, en 1798 ou 1799, et qui sont aujourd'hui au musée royal (n° 437 et 984 du catalogue); 3° notice chronologique. sur les grands chantres de l'église d'Autun, par M. l'abbé Deroucoux; 4° notice sur

les armes anciennes et nouvelles, par M. J. de Fontenay; 5° mémoire sur un ancien canal dont les restes longent la grande route d'Autun à Château-Chinon, avec les plans à l'appui, par M. le comte d'Esterno; 6o de la possibilité de trouver des médailles d'Othon en bronze, de coins romains, et réfutation de l'ouvrage de Chifflet intitulé Dissertatio de Othonibus æneis. (Antuerp. 1656, in-4°), par M. d'Espiard; 7° notice sur l'une des anciennes tombes en relief de l'église d'Anost, diocèse d'Autun, par M. C. Lavirotte; 8° fragment d'histoire métallique, par M. J. de Fontenay; 9° mémoire sur les fouilles de Saint-Révérien, par M. G. Charleuf; 10° note sur quatre tonneaux pétrifiés, lue à la séance de la société Éduenne, le 14 mars 1844, par M. l'abbé Landriot.

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Catalogo razonado..... Catalogue raisonné des manuscrits espagnols existant à la Bibliothèque royale de Paris, avec un supplément contenant ceux des bibliothèques de l'Arsenal, de Sainte-Geneviève et Mazarine, par Eugenio de Ochoa. Paris, imprimé, avec l'autorisation du Roi, à l'Imprimerie royale, 1844, in-4° de x-703 pages. Les rédacteurs des catalogues généraux de nos bibliothèques publiques se sont peu occupés des manuscrits espagnols, et, lorsqu'ils en ont fait mention, ils se sont contentés d'en indiquer sommairement, et trop souvent avec peu d'exactitude, le titre et le contenu. Une description raisonnée de ces manuscrits est donc un service rendu à l'érudition et aux amis de la littérature espagnole. M. E. de Ochoa, déjà connu par plusieurs travaux estimables, a été chargé, par le ministre de l'instruction publique, de cette tâche laborieuse. Son ouvrage, qui a été jugé digne d'être imprimé aux frais de l'État, est divisé par ordre de matières, méthode à la fois la plus rationnelle et la plus favorable aux recherches. Les manuscrits espagnols de la Bibliothèque royale sont au nombre de 332, dont 28 appartiennent à la théologie, 73 à l'histoire, 48 à la jurisprudence, 32 aux sciences et arts, 21 aux belles-lettres; 95, comprenant sous un même numéro des ouvrages de différents genres, sont classés sous le titre de Matières diverses. Les 35 autres, dont l'auteur n'a eu connaissance que tardivement, sont rangés dans un appendice, sans division par matières. La bibliothèque de l'Arsenal renferme 24 manuscrits en langue espagnole ou en catalan. On n'en compte que deux à celle de Sainte-Geneviève, et huit à la Mazarine. Parmi tous ces ouvrages, un certain nombre pourraient être cités comme de véritables richesses littéraires. En les décrivant, l'auteur a fait preuve de connaissances variées. Ses notices, rédigées avec clarté et précision, ont une étendue proportionnée à l'importance des ouvrages qui en sont l'objet, et contiennent, en général, toutes les indications que comporte un bon catalogue de manuscrits.

Analyse critique et littéraire de l'Énéide de Virgile, par M. Magnier, ancien élève de l'Ecole normale, professeur de rhétorique au collège royal de Rouen; ouvrage autorisé par le conseil royal de l'instruction publique. 2° édition, revue et corrigée. Paris, imprimerie de E. Duverger, librairie de Hachette, 1844, 1 vol. in-12 de VIII-512 pages. pages. Mettre, à l'exemple de Rollin, les professeurs et leurs élèves sur la voie d'une explication qui ne se borne pas, comme trop souvent, à l'interprétation littérale et à une traduction plus ou moins française du texte, mais qui pénètre dans ses mérites littéraires et dans les procédés secrets du génie et de l'art de son auteur, tel est le but que s'est proposé M. Magnier, et qu'une longue expérience personnelle lui a fait atteindre heureusement. Son livre, résumé de ses leçons, offre un commentaire continu, fait avec sagacité et délicatesse, de l'œuvre épique de Virgile. L'ordre des idées et des sentiments, le choix des images et des impressions, l'harmonie du langage et des vers, la distribution des détails, le dessin

de l'ensemble, rien n'y est oublié. Publié pour la première fois, il y a seize ans,
en 1828, il a, pendant cet intervalle, servi utilement les études, et mérité l'hon-
neur d'une seconde édition, qui ne sera pas la dernière.

De Flavii Josephi in auctoribus contra Apionem afferendis fide et auctoritate, par
l'abbé M. P. Cruice. Paris, imprimerie de Firmin Didot, 1844, in-8° de 92 pages.
Essai critique sur l'Hexaemeron de saint Basile, par le même; même imprimerie,
in-8° de 118 pages.

Pto. Jordani Bruni Nolani vita et placita, par A. Debs, ancien élève de l'école

normale, professeur de philosophie. Amiens, imprimerie de Yvert, 1844, in-8°

de 131 pages.

Tableau de l'activité volontaire, pour servir à la science de l'éducation, par le même.
Amiens, imprimerie de Duval et Herment, 1844, in-8° de 196 pages.

In Aristotelis placita de physica auscultatione vel de principiis, par C. M. Zevort,
ancien élève de l'école normale, professeur de philosophie. Paris, imprimerie de
Fain et Thunot, librairie de Joubert, 1844, in-8° de 53 pages.

Dissertation sur la vie et la doctrine d'Anaxagore, par le même. Rennes, impri-
merie de A. Marteville et Lefas, librairie de Verdier; Paris, librairie de Joubert,
1844, in-8° de 204 pages.

Les six ouvrages dont on vient de lire les titres ont été, dans le mois d'août,

présentés comme thèse à la faculté des lettres de l'académie de Paris, et ont valu

à leurs auteurs, après une discussion où ils ont brillé, les deux derniers surtout,

par des mérites divers, le titre de docteurs ès lettres. Plusieurs sont des produc-

tions distinguées, parmi lesquelles il convient de remarquer l'excellente monogra-

phie donnée par M. Zevort sur Anaxagore. Elles s'ajoutent, non sans honneur, aux

morceaux du même genre qu'ont produit, dans ces dernières années, en grand

nombre, les exercices académiques de notre université. (Voyez Journal des Savants,

août 1840, p. 507; décembre 1843, p. 770; juillet 1844, p. 441.)

Histoire de Photius, patriarche de Constantinople, auteur du schisme des Grecs,

d'après les monuments originaux, la plupart encore inconnus; accompagné d'une
introduction, de notes historiques et de pièces justificatives; par l'abbé Jager. Paris,
imprimerie de F. Didot, librairie de Vaton, 1844, in-8° de 512 pages, avec un
portrait.

TABLE.

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