Ce fut une. affaire qui me donna bien de la peine. Elle logea chez une de mes amies, laquelle s'employa de bon cœur pour elle. Elle me prioit aussi d'y faire ce que je pourrois. Je voyois son enfant extrêmement menue; mais elle estoit appropriée à... Journal de la santé du roi Louis XIV de l'année 1647 à l'année 1711 - Pagina 382door Joseph Adrien Leroi, Guy-Crescent Fagon, Joseph Adrien Le Roi, Antoine Vallot - 1862 - 441 pagina’sVolledige weergave - Over dit boek
| L. Lafaist, Félix Danjou - 1837 - 508 pagina’s
...trouva des plus signalez seigneurs de la cour qui en parlèrent d'affection aux médecins. Ce fut un affaire qui me donna bien de la peine ; elle logea...laquelle s'employa de bon cœur pour elle ; elle me prioit aussi d'y faire ce que je pourrois. Je voyois son enfant extremement menue-, mais elle estoit... | |
| 1837 - 478 pagina’s
...la femme estoit bien honneste et de gens de bien , en faveur de quoy il se trouva des plus signalez seigneurs de la cour qui en parlèrent d'affection aux médecins. Ce fut un affaire qui me donna bien de la peine ; elle logea chez une de mes amies , laquelle s'employa de... | |
| L. Lafaist, Félix Danjou - 1837 - 494 pagina’s
...la femme estoit bien honneste et de gens de bien , en faveur de quoy il se trouva des plus signalez seigneurs de la cour qui en parlèrent d'affection aux médecins. Ce fut un affaire qui me donna bien de la peine ; elle logea chez une de mes amies , laquelle s'employa de... | |
| Constant Leber - 1838 - 534 pagina’s
...parlerent d'affection aux medecins; ce lut vn'affaire qui me donna bien de la peine ; elle logea chés vne de mes amies, laquelle s'employa de bon cœur pour elle ; elle me prioit aussi d'y faire ce que ie pourrois ; ie voyois son enfant extrêmement menue , mais elle estoit... | |
| Constant Leber - 1838 - 524 pagina’s
...parlerent d'affection aux medecins; ce fui vn'affaire qui me donna bien de la peine ; elle logea chés vne de mes amies, laquelle s'employa de bon cœur pour elle ; elle me prioit aussi d'y faire ce que ie pourrois ; ie voyois son enfant extremement menue , mais elle estoit... | |
| Friedrich Haagen - 1838 - 510 pagina’s
...parlerent d'affection aux medecins; ce fut vn'affaire qui me donna bien de la peine ; elle logea chés vne de mes amies, laquelle s'employa de bon cœur pour elle ; elle me prioit aussi d'y faire ce que ie pourfois ; ie voyois son enfant extremement menue, mais elle estoit... | |
| Louise Bourgeois Boursier - 1875 - 198 pagina’s
...délicate et menue; la femme estoit bien honneste et de gens de bien ; en faveur de quoy il se trouva des plus signalés Seigneurs de la Cour qui en parlèrent...laquelle s'employa de bon cœur pour elle. Elle me prioit aussi d'y faire ce que je pourrois. Je voyois son enfant extrêmement menue; mais elle estoit... | |
| Louise Bourgeois Boursier - 1875 - 186 pagina’s
...délicate et menue; la femme estoit bien honneste et de gens de bien ; en faveur de quoy il se trouva des plus signalés Seigneurs de la Cour qui en parlèrent...amies, laquelle s'employa de bon cœur pour elle. Ellemeprioit aussi d'y faire ce que je pourrois. Je voyois son enfant extrêmement menue; mais elle... | |
| Alfred Franklin - 1896 - 336 pagina’s
...bien ; en faveur de quoy, il se 1 Elisabeth, née à Fontainebleau le 22 noVçml>re 160 trouva les plus signalés seigneurs de la Cour qui en parlèrent...laquelle s'employa de bon cœur pour elle. Elle me prioit aussi d'y faire ce que je pourrois. Je voyois son enfant extrêmement menue : mais elle estoit... | |
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