Correspondance inédite de Buffon: à laquelle ont été réunies les lettres publiées jusqu'à ce jour, Volume 2L. Hachette, 1860 |
Overige edities - Alles bekijken
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
adressée affaires amitié André Thouin assez avez Bachaumont baron de Breteuil bonté Cabinet Cepoy cher monsieur Thouin chevalier de Buffon chose cœur collection comte de Buffon comtesse crois Daubenton demande Dijon dire donner écrire écrit envoyer Faujas de Saint-Fond ferez Flourens forges de Buffon François de Neufchâteau génie Georges-Louis Leclerc Gueneau de Montbeillard Henri Nadault homme Inédite j'ai l'honneur d'être J'ai reçu j'aurai j'espère Jardin jeune comte jours l'abbé Bexon l'Académie l'Histoire naturelle Lauberdière Lebrun lettre livres m'avez m'en madame MADAME NECKER maison Majesté marquis mémoire ment mille ministre Mlle Blesseau Mme de Buffon Mme Necker mois Montbard mort n'ai Nadault de Buffon Note nouvelles oiseaux ouvrage parler passer pensée père Pétersbourg plaisir premier présent président prince Publiée régiment respect reste Rigoley Rigoley de Juvigny Ruffey santé sentiments sera seul sieur soins sujet tendre travaux très-cher monsieur très-humble et très-obéissant très-obéissant serviteur trouve Verniquet Voltaire volume voyage
Populaire passages
Pagina 546 - Son Ombre vers mon lit a paru se baisser. Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser. Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Pagina 87 - Je vous prie d'être persuadé du respectueux attachement avec lequel j'ai l'honneur d'être, Monsieur, votre très-humble et très-obéissant serviteur, RACINE.
Pagina 160 - La commission qui lui sera la plus agréable » sans doute , est celle qu'elle a reçue expressé» ment de vous témoigner le dévouement de la » compagnie : permettez - moi , Monsieur , d'y » joindre l'assurance de la haute considération » avec laquelle j'ai l'honneur d'être , » Monsieur, » Votre très-humble et très-obéissant serviteur,
Pagina 453 - DE MONTBARD, DE LA PART DES ANIMAUX DU GLOBE TERRESTRE : « Homme Pajou ! nous te sommes bien obligés. Nous ne savions comment remercier l'homme Buffon de nous avoir peints ; et toi, avec ton instinct, ton ciseau et de la pierre, tu as rendu nos sentiments et sa figure ; tu as donné une idée de son intelligence aussi parfaitement qu'il a rendu la nôtre, avec sa réflexion et la plume d'un de nos camarades. « Sais-tu qu'il ne faut pas être un sot pour exprimer la reconnaissance des bêtes? Elle...
Pagina 274 - Leur vie pénible se conLe bonheur n'est pas également départi à tous les êtres sensibles; celui de l'homme vient de la douceur de son âme, et du bon emploi de ses qualités morales; le bien-être des animaux ne dépend...
Pagina 391 - Epoques, est aussi le berceau de tout ce que la nature, dans sa première force, a produit de plus grand, et mes vœux seraient de voir cette belle nature et les arts descendre une seconde fois du Nord au Midi sous l'étendard de son puissant génie.
Pagina 384 - Je suis fée, et veux vous conter Une grande nouvelle : Un fils de roi vient d'enchanter Tout un peuple fidèle. Ce Dauphin , que l'on va fêter, Au trône doit prétendre: Qu'il soit tardif pour y monter.... Tardif pour en descendre.
Pagina 405 - Helvôlius, auquel' il donnait un jour à Montbard, au sujet de son livre de l'Esprit, ce conseil sévère : Qu'il aurait bien dû faire un livre de moins et un bail de plus dans les fermes du Roi. Le jeune comte de Buffon partit pour Saint-Pétersbourg, chargé des...
Pagina 426 - Ce principe posé, ne rougissez pas de faire des alliances d'intérêt, dont vous seul aurez tout l'avantage. Ne faites pas la faute grossière de ne pas les abandonner, quand vous croirez qu'il y va de...
Pagina 328 - Je suis affligé toutes les fois qu'on abuse de ce grand , de ce saint nom de Dieu ; je suis blessé toutes les fois que l'homme le profane , et qu'il prostitue l'idée du premier être , en la substituant à celle du fantôme de ses opinions. Plus j'ai pénétré dans le sein de la Nature, plus j'ai admiré et profondément respecté son auteur ; mais un respect aveugle seroit superstition : la vraie religion suppose au contraire un respect éclairé.