De la littérature du midi de l'Europe, Volume 4Treuttel et Würtz, 1819 |
Vanuit het boek
Resultaten 1-5 van 100
Pagina 144
... Portugais , après avoir chassé les Maures de toute la côte occidentale d'Espagne , passè- rent en Afrique , pour y poursuivre encore les ennemis de leur foi ; ils entreprirent la con- quête des royaumes de Fez et de Maroc ; la même ...
... Portugais , après avoir chassé les Maures de toute la côte occidentale d'Espagne , passè- rent en Afrique , pour y poursuivre encore les ennemis de leur foi ; ils entreprirent la con- quête des royaumes de Fez et de Maroc ; la même ...
Pagina 152
... portugais qui , dès le débarquement , avaient le plus signalé leur bravoure et leur amour pour Fernand , se dévoue à lui , fait vou de ne plus le quitter , et le fait reconnaître par tous les cap- tifs tous , au milieu de leurs misères ...
... portugais qui , dès le débarquement , avaient le plus signalé leur bravoure et leur amour pour Fernand , se dévoue à lui , fait vou de ne plus le quitter , et le fait reconnaître par tous les cap- tifs tous , au milieu de leurs misères ...
Pagina 157
... Portugais viennent de débarquer . On leur annonce que l'armée de Tarudant s'appro- che , et qu'elle conduit Phénicie à Maroc ; don Alphonse encourage ses soldats et les prépare au combat . L'ombre de don Fernand dans ses habits de ...
... Portugais viennent de débarquer . On leur annonce que l'armée de Tarudant s'appro- che , et qu'elle conduit Phénicie à Maroc ; don Alphonse encourage ses soldats et les prépare au combat . L'ombre de don Fernand dans ses habits de ...
Pagina 261
... portugais . Nous avons vu naître et se déve- lopper le provençal , le roman wallon , l'italien et le castillan , toutes les langues enfin qui sont parlées au midi de l'Europe , depuis l'extrémité de la Sicile au levant ; et nous ...
... portugais . Nous avons vu naître et se déve- lopper le provençal , le roman wallon , l'italien et le castillan , toutes les langues enfin qui sont parlées au midi de l'Europe , depuis l'extrémité de la Sicile au levant ; et nous ...
Pagina 262
... Portugais eux- mêmes se considéraient comme Espagnols , et ils en prenaient le nom ; tandis qu'ils appelaient toujours castillan le peuple leur voisin et leur rival , qui partage avec eux la souveraineté de l'Espagne . Cependant le ...
... Portugais eux- mêmes se considéraient comme Espagnols , et ils en prenaient le nom ; tandis qu'ils appelaient toujours castillan le peuple leur voisin et leur rival , qui partage avec eux la souveraineté de l'Espagne . Cependant le ...
Overige edities - Alles bekijken
De la littérature du midi de l'Europe, Volume 4 Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi Volledige weergave - 1819 |
De la litterature du midi de l'Europe, Volume 4 J. C. L. Simonde de Sismondi Volledige weergave - 1819 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
alma Alphonse âme amor amour Antonio Ferreira avaient Barros beauté Boutterwek Calderon Calicut Camoëns Canto Castillans Caupolican Cespédès Ceuta chant chevaliers chose chrétiens comédies conquête coraçao Cortéreal cruel Deos Diego Dieu don Juan douleur écrit églogues enfans ensuite espa Espagnols événemens femme Fernand Ferreira gais Gil Vicente gloire gnols Gongora goût guerre héros homme Indes Italiens jamais l'amour l'Espagne l'esprit l'Europe l'histoire l'Inde lagrimas laisse langage langue Léonor Lisbonne littérature long-temps Lope de Vega Lusiade Lusitanie Manuel de Faria Manuel de Souza Maures Mendoza ment meus Miranda mort mundo nation national navigation nymphes olhos passions pastorale patrie peuple Philippe Philippe IV pièces poëme épique poésie poètes portugais poétique Portugais portugaise Portugal premier presque Quevedo Rodriguez Lobo roman royaume saint samorin scène sempre sentimens sentiment seul siècle sonnets strophes terre théâtre tion triste trouve tugais Tuzani vaisseaux Vasco de Gama vejo vós yeux
Populaire passages
Pagina 380 - tanto tempo que cantando O vosso Tejo , e os vossos Lusitanos, A fortuna me traz peregrinando , Novos travalhos vendo e novos danos. Agora o mar, agora exprimentando Os perigos Mavorcios inhumanos, Qual Canace, que a morte se
Pagina 109 - à la passion un caractère qu'elle ne peut soutenir, il perd la nature de vue, et croyant atteindre l'idéal, il ne connaît que l'exagération. Si les mœurs, dans ce théâtre ,sont constamment fausses, le langage l'est plus encore. Les Espagnols doivent à leur communication avec les Arabes, le goût des hyperboles et des
Pagina 527 - Naõ vejas, Nize amada A tua gentileza No cristal dessa fonte. Ella te engana, Pois retrata o suave E encobre o rigorozo; os olhos bellos Volta, volta a meu peito: Verás, tyranna , em mil
Pagina 348 - despois a fez rainha ; As espadas banhando, e as brancas flores, Que cila dos olhos seus regadas tinha, Se encarnicavam férvidos e irosos, No futuro castigo
Pagina 414 - Os tempos ja passados, , De meus doces errores, De meus suaves males, e furores, Por ella padecidos e buscados, Tornada, (inda que tarde) piadosa,
Pagina 214 - ceux que nous avons vu répéter dans toutes nos poétiques, jusqu'au temps où quelques Allemands ont regardé l'art d'un point de vue plus élevé, et ont substitué] à la théorie du philosophe péripatéticien, une analyse de l'esprit humain et de l'imagination, plus ingénieuse et plus fertile.
Pagina 114 - avertissez-moi dans cette détresse ; dites-moi » dans cette infortune ce que doit faire un » amant qui, venant pour voir sa dame, la » nuit qui doit rendre heureux un amour vieilli •» par tant de jours , la trouve baignée
Pagina 240 - Qual suele abeja inquieta revolando Por florido pensil, entre mil rosas',' • Hasta venir a hallar las mas hermosas;, ' Andar con dulce trompa susurrando. Mas luego que las vé, con vuelo blando
Pagina 108 - quoiqu'il eût été doué par la nature d'un beau génie et de la plus brillante imagination, me paraît l'homme de son siècle , l'homme de la misérable époque de Philippe IV. Lorsqu'une nation se corrompt, lorsqu'elle perd ce qui la rendait recommandable , elle n'a plus devant les yeux les modèles de la
Pagina 102 - le sentiment de l'honneur, que la tradition » fabuleuse sur l'hermine, qui, dit-on, met » tant de prix à la blancheur de sa fourrure, » que, plutôt que de la souiller, elle se livre » elle-même à la mort, lorsqu'elle est