De la littérature du midi de l'Europe, Volume 4Treuttel et Würtz, 1819 |
Vanuit het boek
Resultaten 1-5 van 50
Pagina 3
... comédies en vers plus facilement qu'un autre n'aurait fait des sonnets , et qui dans le temps où la langue castillanne était le plus en vogue , remplissait à la fois de pièces de tous les genres tous les théâtres de toutes les Espagnes ...
... comédies en vers plus facilement qu'un autre n'aurait fait des sonnets , et qui dans le temps où la langue castillanne était le plus en vogue , remplissait à la fois de pièces de tous les genres tous les théâtres de toutes les Espagnes ...
Pagina 5
... comédies comme un tableau des moeurs espagnoles et des opi- nions réguantes . C'est sous ce point de vue que je chercherai à faire remarquer en lui les préjugés et la morale des Espagnols , leur con- duite en Amérique , et leurs ...
... comédies comme un tableau des moeurs espagnoles et des opi- nions réguantes . C'est sous ce point de vue que je chercherai à faire remarquer en lui les préjugés et la morale des Espagnols , leur con- duite en Amérique , et leurs ...
Pagina 17
... comédies cepen- dant étaient plus dangereuses encore ; la valeur tournée contre la société , les luttes sanglantes contre les magistrats , les corregidors , les ar- TOME IV . chers , les soldats , n'ont été que trop souvent XVII SIÈCLE .
... comédies cepen- dant étaient plus dangereuses encore ; la valeur tournée contre la société , les luttes sanglantes contre les magistrats , les corregidors , les ar- TOME IV . chers , les soldats , n'ont été que trop souvent XVII SIÈCLE .
Pagina 18
... comédies dont le succès était le plus bril- lant ; on n'y cherchait ni le charme de la poésie , si souvent prodigué dans les autres , ni l'art de nouer les intrigues , de conserver les vraisem- blances ; 18 LITTÉRATURE ESPAGNOLE .
... comédies dont le succès était le plus bril- lant ; on n'y cherchait ni le charme de la poésie , si souvent prodigué dans les autres , ni l'art de nouer les intrigues , de conserver les vraisem- blances ; 18 LITTÉRATURE ESPAGNOLE .
Pagina 34
... Comédies divines . La religion occupait toujours une part importante dans toutes les comédies espagnoles , quelque mondain qu'en fût le sujet . Peut - être a - t - elle été d'autant plus intimement unie à l'essence , à la vie de tous ...
... Comédies divines . La religion occupait toujours une part importante dans toutes les comédies espagnoles , quelque mondain qu'en fût le sujet . Peut - être a - t - elle été d'autant plus intimement unie à l'essence , à la vie de tous ...
Overige edities - Alles bekijken
De la littérature du midi de l'Europe, Volume 4 Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi Volledige weergave - 1819 |
De la litterature du midi de l'Europe, Volume 4 J. C. L. Simonde de Sismondi Volledige weergave - 1819 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
alma Alphonse âme amor amour Antonio Ferreira avaient Barros beauté Boutterwek Calderon Calicut Camoëns Canto Castillans Caupolican Cespédès Ceuta chant chevaliers chose chrétiens comédies conquête coraçao Cortéreal cruel Deos Diego Dieu don Juan douleur écrit églogues enfans ensuite espa Espagnols événemens femme Fernand Ferreira gais Gil Vicente gloire gnols Gongora goût guerre héros homme Indes Italiens jamais l'amour l'Espagne l'esprit l'Europe l'histoire l'Inde lagrimas laisse langage langue Léonor Lisbonne littérature long-temps Lope de Vega Lusiade Lusitanie Manuel de Faria Manuel de Souza Maures Mendoza ment meus Miranda mort mundo nation national navigation nymphes olhos passions pastorale patrie peuple Philippe Philippe IV pièces poëme épique poésie poètes portugais poétique Portugais portugaise Portugal premier presque Quevedo Rodriguez Lobo roman royaume saint samorin scène sempre sentimens sentiment seul siècle sonnets strophes terre théâtre tion triste trouve tugais Tuzani vaisseaux Vasco de Gama vejo vós yeux
Populaire passages
Pagina 380 - tanto tempo que cantando O vosso Tejo , e os vossos Lusitanos, A fortuna me traz peregrinando , Novos travalhos vendo e novos danos. Agora o mar, agora exprimentando Os perigos Mavorcios inhumanos, Qual Canace, que a morte se
Pagina 109 - à la passion un caractère qu'elle ne peut soutenir, il perd la nature de vue, et croyant atteindre l'idéal, il ne connaît que l'exagération. Si les mœurs, dans ce théâtre ,sont constamment fausses, le langage l'est plus encore. Les Espagnols doivent à leur communication avec les Arabes, le goût des hyperboles et des
Pagina 527 - Naõ vejas, Nize amada A tua gentileza No cristal dessa fonte. Ella te engana, Pois retrata o suave E encobre o rigorozo; os olhos bellos Volta, volta a meu peito: Verás, tyranna , em mil
Pagina 348 - despois a fez rainha ; As espadas banhando, e as brancas flores, Que cila dos olhos seus regadas tinha, Se encarnicavam férvidos e irosos, No futuro castigo
Pagina 414 - Os tempos ja passados, , De meus doces errores, De meus suaves males, e furores, Por ella padecidos e buscados, Tornada, (inda que tarde) piadosa,
Pagina 214 - ceux que nous avons vu répéter dans toutes nos poétiques, jusqu'au temps où quelques Allemands ont regardé l'art d'un point de vue plus élevé, et ont substitué] à la théorie du philosophe péripatéticien, une analyse de l'esprit humain et de l'imagination, plus ingénieuse et plus fertile.
Pagina 114 - avertissez-moi dans cette détresse ; dites-moi » dans cette infortune ce que doit faire un » amant qui, venant pour voir sa dame, la » nuit qui doit rendre heureux un amour vieilli •» par tant de jours , la trouve baignée
Pagina 240 - Qual suele abeja inquieta revolando Por florido pensil, entre mil rosas',' • Hasta venir a hallar las mas hermosas;, ' Andar con dulce trompa susurrando. Mas luego que las vé, con vuelo blando
Pagina 108 - quoiqu'il eût été doué par la nature d'un beau génie et de la plus brillante imagination, me paraît l'homme de son siècle , l'homme de la misérable époque de Philippe IV. Lorsqu'une nation se corrompt, lorsqu'elle perd ce qui la rendait recommandable , elle n'a plus devant les yeux les modèles de la
Pagina 102 - le sentiment de l'honneur, que la tradition » fabuleuse sur l'hermine, qui, dit-on, met » tant de prix à la blancheur de sa fourrure, » que, plutôt que de la souiller, elle se livre » elle-même à la mort, lorsqu'elle est