| cardinal Louis François de Bausset - 1814 - 482 pagina’s
...pénitence ; et sans » être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est » prête d'embrasser, elle en regarde la fin avec » une consolation qui ne lui permet pas d'en » craindre la peine. Ce/a, me ravit et me conn fond. Je parle f et elle fait. J'ai les discours, » et elle a les œuvres.... | |
| Cardinal Louis François de Bausset - 1819 - 480 pagina’s
...fin avec (' ) On peut conjecturer qu'il est question de M. mc de get, sœur de M. me de Montespan, » une consolation qui ne lui permet pas d'en » craindre la peine. Cela me ravit et me con» fond. Je parle, et elle fait. J'ai les discours , » et elle a les œuvres. Quand je considère... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1824 - 390 pagina’s
...l'austérité de la vie qu'elle est prête » d'embrasser, elle en regarde la fin avec une con» solation qui ne lui permet pas d'en craindre la » peine. Cela...confond. Je parle, et » elle fait. J'ai les discours, et elle a les œuvres. » Quand je considère ces choses, j'entre dans le » désir de me taire et... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 432 pagina’s
...être effrayée de l'austérité » de la vie qu'elle est près d'embrasser , elle » en regarde la f1n avec une consolation qui » ne lui permet pas d'en...parle , et elle » fait ; j'ai les discours , elle a 4es œuvres. » Quand je considère ces choses, j'entre dans » le désir de me taire et de me cacher,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 912 pagina’s
...conjecturer qu'il cil question de madame de Tbiange» , sœur de madame de Moule pan. » d'embrasser, elle en regarde la fin avec une consolation qui ne...confond. » Je parle, et elle fait. J'ai les discours , et elle a les œuvres. Quand je » considère ces choses, j'entre dans le désir de me taire et de... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 816 pagina’s
...et sans être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle en '«Sarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas...ravit et me confond : je parle , et elle fait ; j'ai l« discours, elle a les œuvres. Quand je considère ces choses, j'entre dans le désir de nie taire... | |
| Jacques-Paul Migne - 1857 - 898 pagina’s
...Elle ne respire pi us que la pénitence, et, sans être effrayée de l'austérité des Carmélites, elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre Je peine. Cela me ravit et me confond. Jo parle et elle fait; j'ai les discours et elle les œuvres.... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1846 - 442 pagina’s
...la pénitence; et sans être effrayée de l'aus» térité de la vie qu'elle est près d'embrasser, elle en » regarde la fin avec une consolation qui...» pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me con» fond. Je parle, et elle fait. J'ai les discours, et elle a a les œuvres. Quand je considère... | |
| 1852 - 828 pagina’s
...pensersans être en de continuelles actions de grâces... elle ne respire plus que la pénitence... cela me ravit et me confond; je parle, et elle fait; j'ai les discours, et elle a les œuvres. Quand je considère ces choses, j'entre dans le désir DE MI: TAIRE ET DE HE... | |
| Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1852 - 556 pagina’s
...La trace du « doigt de Dieu, c'est le calme et l'humilité qui ac« compagnent toutes ses pensées; cela me ravit et « me confond! Je parle, et elle fait ; j'ai les dis« cours, elle a les œuvres ! Quand je considère ces « choses, j'entre dans le désir de me taire... | |
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