Essai sur Amyot et les traducteurs français au XVIe siècle: précédé d'un éloge d'Amyot ...

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A. Durand, 1851 - 466 pagina's
 

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Populaire passages

Pagina 222 - Sur les délais de la Justice divine dans la punition des coupables, ouvrage de...
Pagina 359 - En effet , madame , il vous doit une bonne partie de tout ce qu'il est. Quoiqu'il ait eu une naissance assez heureuse , et qu'il y ait...
Pagina 176 - Mais je laisse à Plutarque la charge de vous consoler, et de vous advertir de vostre debvoir en cela, vous priant le croire pour l'amour de moy; car il vous descouvrira mes intentions, et ce qui se peult alléguer en cela, beaucoup mieulx que je ne ferois moy mesme. Sur ce...
Pagina 232 - Tous ses magasins et tous ses trésors sont dans les œuvres de ce grand homme, et encore aujourd'hui nous n'avons guère de façons de parler nobles et magnifiques qu'il ne nous ait laissées et, bien que nous ayons retranché la moitié de ses phrases et de ses mots, nous ne laissons pas de trouver dans l'autre moitié presque toutes les richesses dont nous nous vantons et dont nous faisons parade.
Pagina 197 - ... dans son âme une générale idée de celle de Plutarque, il ne luy a au moins rien...
Pagina 253 - ... enrichie de notre langue. Et vraiment celui et son œuvre méritent grandes louanges, qui a pu proprement et naïvement exprimer en son langage ce qu'un autre avait mieux écrit au sien, après l'avoir bien conçu en son esprit, et lui est due la même gloire...
Pagina 225 - ... se desmesle bien brusquement et nettement d'un mauvais pas, que toutesfois son style est plus chez soy, quand il n'est pas pressé et qu'il roule à son ayse.
Pagina 282 - ... son escient. Et en cela monstra Dieu que les batailles sont en sa main, et dispose de la victoire à son plaisir. Et ne m'est pas advis que le sens d'un homme...
Pagina 384 - ... bonne grâce eurent en bien disant, En escripvant, Macault ne l'a pas moindre. Ailleurs, c'est Valère Maxime qui, devenu Français et se naturalisant lui-même de la meilleure grâce du monde , donne congé en ces termes à son ancienne patrie : Ne prens plus gloire en moy, plus ne suis tien, Rome, qui fus la princesse du monde; France m'a faict par un écrivain sien, Puis peu de jours , tourner en sa faconde. Si ton Tybère en murmure ou en gronde, Il ne m'en chault; François ores me nomme....
Pagina 154 - disait-il, « ne pas feuilleter nos romans, et desrouiller force beaux mots, tant simples que composez, qui ont pris la rouille pour avoir esté si long temps hors d'usage?

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