Paléographie des chartes et des manuscrits du XIe au XVIIe siècle

Voorkant
A. Aubry, 1876 - 159 pagina's
 

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Veelvoorkomende woorden en zinsdelen

Populaire passages

Pagina 153 - L'ADVOCACIE NOTRE-DAME, ou la Vierge Marie plaidant contre le Diable, poème du xiv« siècle, en langue franconormande, attribué à Jean de Justice, chantre et chanoine de Bayeux ; extrait d'un manuscrit de la bibliothèque d'Evreux, par A.
Pagina 96 - Ce n'est qu'à partir du xinc siècle que les traités de musique et la liturgie ecclésiastique présentent des notes carrées sur quatre ou cinq lignes; car le nombre de ces dernières n'était pas déterminé d'une manière invariable. Les traités de musique , un siècle après l'époque de Guido , commencent ordinairement par l'exposition fort obscure du système faussement attribué à cet auteur , puisque ce n'est qu'un siècle après lui, dans...
Pagina 137 - Les légendes des plus anciens sceaux sont très-simples et se composent du nom propre mis au nominatif ou au génitif: dans ce dernier cas, on Boua-enlendait probablement bullit ou sigillum.
Pagina 146 - Les sceaux de cire jaune ou rouge antérieurs au xiie siècle rendraient suspectes les chartes qui les porteraient. 6. Tous les rois de France de la première race, à l'exception de Childéric, père de Clovis I", et de Childéric III, se sont servis de sceaux ronds.
Pagina 29 - ... fermé ne portant pas d'accent on ne peut le distinguer que par le sens qu'exige la phrase. « Les caractères prosodiques de prononciation tels que l'apostrophe, la cédille, etc., n'étaient pas, non plus que les autres accents, en usage avant le XVIe siècle. « Le z était presque toujours employé pour l's, à la fin des mots fruilz, loyz, filz, témoingz, etc.
Pagina 145 - Romains, c'est-à-dire, qu'ils faisaient apposer aux actes émanés de leur autorité leur sceau gravé sur un anneau qu'ils portaient ordinairement au doigt. Ceux de la première race, ronds pour la plupart, n'excèdent pas communément la...
Pagina 24 - ... époque. On retranchait, augmentait, transformait les lettres d'un même nom, suivant l'idée du copiste, qui écrivait, du reste, avec un grand nombre de signes abréviatifs. Ajoutons à cela les altérations résultant de l'ignorance ou de l'inadvertance des écrivains, et nous comprendrons combien la langue latine, chargée d'une multitude de mots étrangers plus ou moins barbares, acheva de se corrompre par une orthographe vicieuse ou plutôt par l'absence d'orthographe. Une des transformations...

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