Robinson, j'avais la vanité de me croire assez avancé dans mes études favorites de mécanique et de physique, lorsqu'on me présenta à Watt. Aussi , je l'avoue, je ne fus pas médiocrement mortifié en voyant à quel point le jeune ouvrier m'était... Journal des demoiselles - Pagina 1291854Volledige weergave - Over dit boek
| 1838 - 516 pagina’s
...physique, lorsqu'on » me présenta à Watt. Aussi , je l'avoue , je ne fus » pas médiocrement mortifié en voyant à quel point « le jeune ouvrier m'était...» notre artiste. Une fois provoqué , chaque sujet de» venait pour lui un texte d'études sérieuses et de » découvertes. Jamais il ne lâchait prise... | |
| François Arago - 1854 - 690 pagina’s
...physique, lorsqu'on me présenta a « Watt; aussi, je l'avoue, je ne fus pas médiocrement « mortifié en voyant à quel point le jeune ouvrier m'était...l'Université, une difficulté « nous arrêtait, et quelle qu'en fût la nature, nous cou• rions chez notre artiste. Une fois provoqué, chaque sujet... | |
| François Arago - 1854 - 686 pagina’s
...physique, lorsqu'on me présenta à « Watt; aussi, je l'avoue, je ne fus pas médiocrement « mortifié en voyant à quel point le jeune ouvrier m'était...l'Université, une difficulté « nous arrêtait, et quelle qu'en fût la nature, nous cou« rions chez notre artiste. Une fois provoqué, chaque sujet... | |
| Louis Figuier - 1855 - 410 pagina’s
...physique, lorsqu'on me présenta à "Watt. Aussi, je l'avoue, je ne fus pas médiocrement mortifié en voyant à quel point le jeune ouvrier m'était...il ne lâchait prise qu'après avoir entièrement éclnirci la question proposée, soit qu'il la réduisît à rien, soit qu'il en tirât quelque résultat... | |
| Louis Figuier - 1855 - 414 pagina’s
...physique, lorsqu'on me présenta à Watt. Aussi, je l'avoue, je ne fus pas médiocrement mortifié en voyant à quel point le jeune ouvrier m'était...provoqué, chaque sujet devenait pour lui un texte d'étades sérieuses et de découvertes. Jamais il ne lâchait prise qu'après avoir entièrement éclairci... | |
| Sébastien Louis Saulnier - 1855 - 1040 pagina’s
...Watt ; son appartement était le rendez-vous général. Dès qu'une difficulté non? arrêtait, et quelle qu'en fût la nature, nous courions chez notre...Une fois provoqué, chaque sujet devenait pour lui an texte d'études sérieuses, et nous étions sûrs que jamais il ne lâchait prise qu'après avoir... | |
| Achille François É Jouffroy d'Abbans (marq. de.) - 1860 - 726 pagina’s
...l'université, une difiiculté nous arrêtait, et cela quelle qu'en fût la nature, nous courions cirez notre artiste. Une fois provoqué , chaque sujet devenait...lâchait prise qu'après a'voir entièrement éclairci ïa question proposée, soit qu'il la réduisît à rien, soit qu'il en tirât quelque résultat net... | |
| Société des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille - 1862 - 722 pagina’s
...physique, lorsqu'on me présenta à Watt. Aussi , je l'avoue, je ne fus pas médiocrement mortifié en voyant à quel point le jeune ouvrier m'était...entièrement éclairci la question proposée, soit qu'il la réduisît à rien, soit qu'il en tirât quelque résultat net et substantiel. Un jour, la solution... | |
| Louis Figuier - 1867 - 764 pagina’s
...physique, lorsqu'on me présenta à Watt. Aussi, je l'avoue, je ne fus pas médiocrement mortifié en voyant à quel point le jeune ouvrier m'était...nous arrêtait, et cela quelle qu'en fût la nature, noue courions chez notre artiste. Une fois provoqué, chaque sujet devenait pour lui un texte d'études... | |
| Maximilien Marie - 1886 - 336 pagina’s
...Mécanique et la Physique; mais lorsqu'on me présenta à Watt, je ne fus pas médiocrement mortifié en voyant à quel point le jeune ouvrier m'était...dans l'université, une difficulté nous arrêtait, nous courions chez notre artiste. Chaque question soulevée devenait pour lui un sujet d'études et... | |
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