d'abord la rareté de ces ouvrages, puis le désir de permettre au lecteur de juger par lui-même.
MM. les éditeurs ont désiré que la partie historique fût traduite en français. Qu'il me soit permis d'en remercier ici M. le docteur van Muyden, qui s'est efforcé de rendre aussi exactement que possible les idées de l'original.
C'est aux lecteurs à juger cet essai, fruit de trois années d'un travail opiniâtre. Je les prie seulement d'avoir égard à ce que diverses circonstances et surtout le fait que l'auteur ne connaît le Brésil que par les livres ont dû le rendre plus ou moins défectueux et incomplet.
Mon ouvrage a dans tous les cas le mérite relatif d'être le premier et le seul qui ait paru en Europe sur ce sujet. Vienne, avril 1862.