Considérations sur les principaux événemens de la révolution françoiseCharpentier, 1843 - 664 pagina's |
Vanuit het boek
Resultaten 6-10 van 100
Pagina 29
... circonstances d'alors , le plus grand danger pour le pouvoir du roi était de manquer d'argent ; et c'est d'après cette conviction que M. de Maurepas proposa de nommer M. Necker directeur général 2 ** SUR LA RÉVOLUTION FRANÇAISE . 29.
... circonstances d'alors , le plus grand danger pour le pouvoir du roi était de manquer d'argent ; et c'est d'après cette conviction que M. de Maurepas proposa de nommer M. Necker directeur général 2 ** SUR LA RÉVOLUTION FRANÇAISE . 29.
Pagina 32
... circonstances n'avaient pas forcé le roi lui - même à ce change- ment , M. Necker ne se serait jamais cru le droit de s'en mêler . Il considérait , avant tout , le devoir individuel et présent auquel il se trouvait lié ; et , quoiqu'il ...
... circonstances n'avaient pas forcé le roi lui - même à ce change- ment , M. Necker ne se serait jamais cru le droit de s'en mêler . Il considérait , avant tout , le devoir individuel et présent auquel il se trouvait lié ; et , quoiqu'il ...
Pagina 33
... circonstances , comme le chancelier de l'Hôpital , entre les catholiques et les pro- testants . Car les querelles politiques de la France , dans le dix- huitième siècle , peuvent être comparées aux dissensions religieuses du seizième ...
... circonstances , comme le chancelier de l'Hôpital , entre les catholiques et les pro- testants . Car les querelles politiques de la France , dans le dix- huitième siècle , peuvent être comparées aux dissensions religieuses du seizième ...
Pagina 34
... circonstances passagères aux lois de probité instituées par le Créateur . Pendant le premier ministère de M. Necker , lorsque l'opinion n'était point encore pervertie par l'esprit de parti , et que les af- faires marchaient d'après les ...
... circonstances passagères aux lois de probité instituées par le Créateur . Pendant le premier ministère de M. Necker , lorsque l'opinion n'était point encore pervertie par l'esprit de parti , et que les af- faires marchaient d'après les ...
Pagina 38
... circonstances à peu près semblables à celles du chancelier de l'Hôpital . Il n'a pas fait un pas dans la carrière politique , sans que les novateurs lui reprochassent sa prudence , et les partisans de tous les anciens abus sa témérité ...
... circonstances à peu près semblables à celles du chancelier de l'Hôpital . Il n'a pas fait un pas dans la carrière politique , sans que les novateurs lui reprochassent sa prudence , et les partisans de tous les anciens abus sa témérité ...
Overige edities - Alles bekijken
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
affaires amis Anglais Angleterre arbitraire aristocrates armée aurait avaient Bernadotte Bonaparte c'était caractère cause chambre chambre des pairs chambre étoilée CHAPITRE Charles Ier charte choses circonstances citoyens civile classe clergé considérer constitutionnelle courtisans députés despotisme devait dire directoire égard enfin ennemis esprits états généraux étrangers eût fallait Fayette force française fût genre gleterre gouvernement représentatif guerre Henri IV Henri VIII hommes impôts institutions intérêts jacobins jamais jour justice l'Angleterre l'armée l'assemblée constituante l'autorité l'espèce humaine l'esprit l'État l'Europe l'opinion législatif liberté lois lord Louis XIV Louis XVI lumières madame de Staël manière ment militaire ministres Mirabeau monarchie monarque n'avait n'était Napoléon nation nécessaire Necker nobles noblesse parlement pays pendant personne peuple politique populaire pouvait pouvoir absolu premier presque princes principes public publique puissance qu'un raison règne religion respect reste révolution rien rois royale s'il saurait sentiment serait servir seul siècle talent Talleyrand tiers état tion trône tyrannie vérité vertus voulait
Populaire passages
Pagina 119 - Sire , nous vous en conjurons au nom de la patrie , au nom de votre bonheur et de votre gloire, renvoyez vos...
Pagina 516 - Chacun se réveille à ce son, Les Brebis, le Chien, le Garçon. Le pauvre Loup, dans cet esclandre, Empêché par son hoqueton, Ne put ni fuir ni se défendre. Toujours par quelque endroit fourbes se laissent prendre. Quiconque est Loup agisse en Loup : C'est le plus certain de beaucoup.
Pagina 160 - France avait à craindre la famine et la banqueroute, les députés prononçaient des discours dans lesquels ils disaient que chaque homme tient de la nature le droit et le désir d'être heureux, que la société a 'commencé par le père et le fils , et d'autres vérités philosophiques faites pour être discutées dans les livres , et non au milieu des assemblées.
Pagina 286 - Amitié dangereuse, Ursule et Sophie ; enfin , toute la fadeur et toute la frivolité de la vie subsistaient à côté de ses plus sombres fureurs. Nous n'avons point tenté de dissimuler ce qu'il n'est pas au pouvoir des hommes d'effacer de leur souvenir ; mais nous nous hâtons, pour respirer plus à l'aise , de rappeler dans le chapitre suivant les vertus qui n'ont pas cessé d'honorer la France, même à l'époque la plus horrible de son histoire.
Pagina 324 - ... créature humaine comme un fait ou comme une chose, mais non comme un semblable. Il ne hait pas plus qu'il n'aime; il n'ya que lui pour lui; tout le reste des créatures sont des chiffres. La force de sa volonté consiste dans l'imperturbable calcul de son égoïsme; c'est un habile joueur d'échecs dont le genre humain est la partie adverse qu'il se propose de faire échec et mat. Ses succès tiennent autant aux qualités qui lui manquent qu'aux talents qu'il possède.
Pagina 363 - Un jour il assurait aux prélats que , dans son opinion , il n'y avait que la religion catholique de vraiment fondée sur les traditions anciennes ; et , d'ordinaire , il leur montrait sur ce sujet quelque érudition acquise de la veille ; puis , se trouvant avec des philosophes , il dit à Cabanis : Savez-vous ce que c'est que le concordat que je viens de signer ? C'est la vaccine de la religion : dans cinquante ans il n'y en aura plus en France. Ce...
Pagina 16 - ... le roi (ose-t-on le dire, et peut-on l'oublier!) qui vint, le fouet à la main , interdire comme une offense le dernier reste de l'ombre d'un droit, les remontrances du parlement, ne respectait que luimême , et n'a jamais pu concevoir ce que c'était qu'une nation.
Pagina 347 - Le sortilége le plus puissant dont Bonaparte se soit servi pour fonder son pouvoir, c'est, comme nous l'avons déjà dit, la terreur qu'inspirait le nom seul du jacobinisme , bien que tous les hommes capables de réflexion sachent parfaitement que ce fléau ne peut renaître en France. On se donne volontiers l'air de craindre les partis battus , pour motiver des mesures générales de rigueur. Tous ceux qui veulent favoriser l'établissement du despotisme rappellent avec violence les forfaits commis...
Pagina 421 - Ses succès sont étonnans, ses revers plus étonnans encore ; ce qu'il a fait avec l'énergie de la nation est admirable ; l'état d'engourdissement dans lequel il l'a laissée peut à peine se concevoir. La multitude d'hommes d'esprit qu'il a employés est extraordinaire ; mais les caractères qu'il a dégradés nuisent plus à la liberté que toutes les facultés de l'intelligence ne pourroient y servir.
Pagina 92 - Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être également au monarque; enfin, que l'autorité royale devait être le rempart de la liberté nationale, et la liberté nationale la base de l'autorité royale.