| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1880 - 564 pagina’s
...visages; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étaient en trop petit nombre ; ils auraient rougi de le montrer. Les promenades, les cafés, tous les lieux publics étaient remplis de monde ; mais il y régnait un silence extraordinaire ; on se regardait, on se serrait... | |
| Charles Gomel - 1892 - 598 pagina’s
...visages ; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étaient en trop petit nombre : ils auraient rougi de le montrer. Les promenades, les cafés, tous les lieux publics, étaient remplis de monde, mais il y régnait un silence extraordinaire; on se regardait, on se serrait... | |
| Amédée Gasquet - 1896 - 328 pagina’s
...les visages ; ceux qui éprouvaient un sentiment contraire étaient en petit nombre ; ils auraient rougi de le montrer. Les promenades, les cafés, tous les lieux publics «itaient remplis de monde, mais il régnait un silence extraordinaire. On se regardait, on se serrait... | |
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